Chercher une cachette avec un GPS et une paire de baskets dans des décors et des éléments de patrimoine choisis par d’autres joueurs voilà la recette séduisante et amusante du géocaching. Un jeu où l’on peut être joueur comme acteur, voire les deux à la fois et qui se pratique seul, en groupe ou lors de rassemblement. Le géocaching, Jean-Marc Genestroni, alias Spirou43, est tombé dedans voilà quatre ans. Depuis il a entraîné sa famille dans ce jeu qui se situe entre la chasse au trésor et le rallye découverte en faisant appel à une pointe de notions d’orientation.

Cette pratique initiée aux États-Unis se joue de façon libre et autonome.
Il suffit de disposer d’un GPS portable et de se connecter à la base de recensement des caches de par le monde (www.geocaching.com).
En Haute-Loire il y a 272 petits trésors dissimulés dans des coins qui valent le détour, essentiellement sur l’est du département.
À lui seul, Spirou43 a créé 172 caches en Haute-Loire.
C’est le meilleur « placeur » recensé par le site www.mides.fr qui compte 38 autres placeurs au sein des frontières altiligériennes.
Ce département c’est le meilleur terrain de jeu de Jean-Marc Genestroni qui habite à Pont-Salomon, mais il a parsemé des caches dans six autre départements français.
Cette passion a débuté « un jour où ma famille et moi avions du temps à perdre. Alors on s’est mis à chercher des petites boites. »
Vingt boîtes plus tard, la famille était devenue accro.
« Ensuite nous avons participé à un event, un rassemblement de joueurs. C’est là qu’on a attrapé le virus. »

Article publié le 01/08/2012 à 16:48
Auteur : Rédaction L’Eveil
Crédits photos : L’Eveil