Jean-Michel et Marc, deux geocacheurs bien connus des adeptes tourangeaux.

Le geocaching compte six millions d’adeptes dans le monde. En Indre-et-Loire, les professionnels du tourisme commencent à s’y intéresser.

Imaginez deux copains à la retraite, vêtus comme des randonneurs, se baladant avec une échelle dans un sous-bois, un GPS à la main, le regard scrutant le tronc d’un tilleul centenaire. Cela vous étonne ? Alors, vous n’avez sans doute jamais entendu parler du geocaching.

Née en 2000 aux États-Unis, la pratique s’assimile à « une chasse aux trésors des temps modernes », résument Marc et Jean-Michel, en goguette ce matin-là à Esvres-sur-Indre (lire ci-dessous). Les deux compères « geocacheurs » se sont rencontrés il y a deux ans grâce à leur hobby. Depuis, ils s’organisent au moins une sortie de ce type par semaine.

Tours, 6e ville de France du geocaching

Le principe ? Des coordonnées GPS, des énigmes, parfois un peu de sport, et au final des boîtes cachées – appelées « geocaches » dans le jargon – disséminées aux quatre coins de la planète.
Il y en aurait plus de 2 millions, jusqu’en Antarctique. Rien qu’à Tours, on n’en dénombre pas moins de 223, positionnant la ville au 6e rang national. Selon le site geocaching.com, l’activité compte six millions d’adeptes.
Au-delà de l’aspect récréatif, le geocaching offre un véritable potentiel touristique. Montlouis l’a bien compris, qui s’est associé avec Itamae, pseudonyme d’un geocacheur bien connu en Touraine. Des parcours ont été mis en place, permettant de découvrir les richesses patrimoniales de la commune. « Cela attire du monde », indique Anne-Hélène Guillemet, coordinatrice à l’office de tourisme montlouisien.
D’autres, comme Mathurin Body, y voient un marché porteur. Cet ingénieur en informatique tourangeau a quitté son emploi début juillet pour se consacrer pleinement à la création d’une application pour smartphone, reprenant les grands principes du geocaching. Intitulé « Les pirates de la Loire », le projet doit associer des producteurs et artisans du département, permettant aux participants de remporter des produits du terroir. L’application devrait être disponible à partir de novembre. Mathurin Body s’est fixé pour objectif d’atteindre 50.000 visiteurs annuels.
Le pari ne paraît pas impossible quand on sait que l’Indre-et-Loire attire chaque année autour d’un million et demi de touristes. « Tout le monde est aujourd’hui hyperconnecté », rappelle par ailleurs Pierre Sabouraud, directeur de l’agence départementale du tourisme.
Pour lui, les technologies du numérique, et notamment les applications pour smartphone – il en existe une trentaine concernant la Touraine –, sont devenues « incontournables ». Ce n’est pas Marc et Jean-Michel qui diront le contraire. Les deux géocacheurs n’oublient jamais d’emporter leur GPS au moment de partir en vacances.

Découverte de la Bourgogne
par le géocaching

La chasse au trésor 2.0 est ouverte à Châtellerault. Né avec la géolocalisation dans les années 2000 aux États-Unis, le géocaching compte de plus en plus d’amateurs.
Le jeu consiste à trouver, grâce aux coordonnées GPS communiquées par le site geocaching.com ou l’application, des boîtes de différentes tailles, de celle d’un dé à coudre à celle d’une boîte à chaussures. Ces « caches » contiennent un carnet sur lequel s’identifier et des gadgets, pins, porte-clés et sont placées dans des endroits qui méritent d’être valorisés.

Vingt-huit « caches »à trouver

« Notre objectif est de faire découvrir le patrimoine, au sens large, explique Gaëlle Rioult, la géocacheuse du service tourisme du Pays châtelleraudais, une parmi déjà plusieurs autres à Châtellerault. Mais pas seulement le bâti. Cela peut être un paysage, un arbre centenaire… »
Vingt-huit boîtes sont ainsi dissimulées dans l’agglomération, dont une quinzaine à Châtellerault. Elles ont été posées par le service tourisme mais pas que. Au théâtre Blossac, à l’hôtel Alaman, La Maison du gardien, à la Manu mais aussi à Archigny, Availles, Naintré, Saint-Sauveur et Vouneuil. Bientôt à Thuré, Cenon… Le Pays châtelleraudais doit en installer dans chacune des communes de l’agglomération dans les semaines qui viennent. Aux géocacheurs de jouer ensuite, de les trouver et d’en mettre de nouvelles en place.
La cache ne saute pas forcément aux yeux. Il faut souvent la chercher un peu avant de mettre la main dessus, ouvrir grand ses yeux, se baisser. Elle peut se trouver dans un nichoir, une bouche d’égout, être contenue dans une araignée en plastique, un rondin…
Le service tourisme s’est pris au jeu il y a quelques mois, comme Philippe Merlier, le président de « Pédaler, marcher, s’orienter » qui en a disposé sur ses circuits de canoë et à Saint-Cyr où il a créé un parcours d’orientation à destination des scolaires. Des particuliers du secteur, qui se cachent sous les pseudonymes Epona86 ou BigBoy86 par exemple, sont particulièrement actifs mais beaucoup plus difficiles, eux, à géolocaliser.

Le service tourisme du Pays châtelleraudais prête des GPS sur lesquels est téléchargée l’application. Pour l’emprunter, présenter une pièce d’identité et fournir un chèque de caution de 150€.

comment ça marche

1. S’inscrire sur le site www.geocaching.com dont il existe plusieurs versions, dont une gratuite.
2. Se munir d’un GPS ou de son smartphone sur lequel on peut télécharger l’application et chercher la « cache » sur le terrain grâce aux coordonnées GPS fournies et un indice, souvent bien utile. On y trouve aussi un descriptif des lieux.
3. Inscrire son nom voire un commentaire sur le carnet (logbook) se trouvant dans la boîte, prendre le gadget et en remettre un de valeur égale ou supérieure.
4. Bien replacer la boîte dans sa cachette.
5. Valider sa trouvaille sur le site ou via l’application. Au bout de 10, on est autorisé à cacher une boîte à son tour.

Stéphanie Comte

La Via Rhona vous connaissez ?

R2randpiard38 nous propose une vidéo sur une virée géocaching à vélo; Regardez, cela va vous donner envie

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Les adeptes du geocaching partent à l’abordage des villes, campagnes et forêts. Dans cette chasse au trésor du XXIe siècle, sans appât du gain, des indices mènent les pirates modernes vers la cachette mystère.

Il entre les coordonnées dans son GPS et se retrouve au coin d’une rue qu’il emprunte tous les jours. Aimanté au dos d’un panneau de signalisation, le trésor est là. Pas de grande valeur, mais d’une richesse inattendue. Une pièce de monnaie australienne, une figurine ou un porte-clés. Et un logbook, carnet sur lequel il inscrit la date de son passage et son nom. Lui, c’est un géocacheur.

« Très vite addictif »

Comme Jym, 28 ans, ouvrier en menuiserie à Mayenne. « À force de découvrir des lieux magnifiques, ça devient très vite addictif », confie-t-il. Il a entraîné amis et compagne dans cette chasse au trésor moderne et sans appât du gain. Dans les villes, les forêts, au sommet des montagnes, des objets sont dissimulés. Pour les dénicher, tout commence par des coordonnées GPS, divulguées sur un site Internet comme geocaching.com. Des indices à glaner sur place ou des énigmes mènent à la fameuse cache.

Grâce au geocaching, Jym a découvert Ambrières-les-Vallées et la « magnifique vue » depuis son viaduc. Il a aussi « redécouvert » Sainte-Suzanne. « On place une cache à un endroit qu’on apprécie, c’est plus personnel qu’un guide touristique », souligne celui qui s’est aussi improvisé cacheur. À son tour, il a semé des boîtes, répertoriées sur le site dédié, assorti d’une description historique ou d’anecdotes sur le lieu en question. Ses anciennes boîtes de chewing-gum côtoient l’ancien hôpital ou le plan d’eau de Mayenne.

Christophe Saussol profite de ses déplacements professionnels pour partir à la conquête de caches inconnues. À 45 ans, cet auditeur pour un groupe financier habite près de Vitré, en Ille-et-Vilaine. Une de ses caches a élu domicile au pont de Pritz, à Laval. Il a poussé certains à en créer à Jublains, « pour faire découvrir la richesse de son site romain ».

À tout âge

Jeunes, retraités ou familles se muent en explorateurs des temps modernes. La Team Coco 59 raconte sur Internet sa quête d’une cache lavalloise : « Nous voilà partis pour une après-midi geocaching en famille. Les toutes premières géocaches de Matéo, 3 mois et demi. »

Ce loisir a beau utiliser le Net, sa communauté n’est pas que virtuelle. Christophe Saussol a créé un forum spécialisé avec un ami rencontré sur le lieu d’une cache. En septembre, ils ont organisé le premier event de leur département. Ce rassemblement a réuni 150 passionnés. Après un pique-nique, ils ont dévoilé 86 caches préparées depuis plusieurs mois dans les environs.

Matthieu Jagu, 30 ans, a participé à un event à Orléans, qu’il a quitté afin de s’installer à Laval, il y a deux ans, pour travailler sur le chantier de la LGV, comme géomètre. Ne connaissant personne dans le département, il l’a découvert grâce aux géocaches. « Ceux qui les placent ont des connaissances et partagent leur patrimoine local », apprécie-t-il.

Muni d’un GPS et d’une application sur son smartphone, il a à son tour caché une boîte de pellicule photo en face du château de Laval. Il effectue des « visites de maintenance » pour contrôler son état. En 2015, Matthieu Jagu aura terminé sa mission sur le chantier de la LGV. Avant de repartir, il sollicitera un de ses amis lavallois rencontrés grâce au site de geocaching. Pour que sa cache perdure, il la lui « léguera ».

Gwendal LE MÉNAHÈZE de jactiv.ouest-france

Par Calimero 33

Le but de l’association, c’est de pouvoir en premier monter des events dans de bonnes conditions (demander une salle à une collectivité). Mais aussi proposer aux adhérents des sessions de perfectionnement sur des sujets concernant notre passion (choix d’un gps, utilisation de celui-ci, création d’une cache, saisir un beau descriptif… utilisation de GSAK). Et puis faciliter la création d’un geocoin à la couleur de notre Région. Mais aussi promouvoir notre passion.

Nous ne partons pas de rien, nous avons déjà de l’expérience pour monter des events (80 participants lors de l’event d’Arcachon), pour faire des sessions d’initiation (100 moldus initiés sur Bordeaux lors de la semaine Digitale) ou pour la pose de caches en collaboration (Geodyssée). Fort de ces expériences, nous pensons via une association pouvoir aller plus loin et donc offrir plus de plaisir (géocahcing bien sûr :D ) à tous. Et puis l’asso en 4 mois d’existence à déjà organisé une formation pour ces membres et un event à la suite et surtout nous avons participer à 2 events d’initiation de moldus et les sourires et la joies des moldus nous confortent dans notre choix.

Sinon le conseil d’administration se compose de 6 personnes :

Notre première membre est du sud Gironde. Elle pose des caches sous un pseudo très postal qu’elle partage avec son homme. Elle va bientôt fêter ses 1000 caches trouvées. Elle a toujours le sourire, toujours prête pour donner un coup de main, c’est… c’est… la partie féminine de la team MKL33210, merci à Cécile.

La deuxième est notre secrétaire adjointe. C’est notre institutrice qui est là pour corriger mes « photes d’orttograffe » (et on peut dire qu’elle a du boulot) depuis plus de 10 ans. Elle a débuté le géocaching en 2011 (elle a fêté ses 3 ans il y a tout juste une semaine), elle est notre webmaster c’est… c’est la partie féminine de la team Calimero33, soit Sophie.

La troisième à qui on a donné les clés du coffre fort, c’est notre trésorière. Elle vit dans une contré lointaine qui porte le doux nom de Médoc. Elle fait affoler tous ses compteurs geocaching. Elle est discrète mais sacrément efficace dans tout ce qu’elle entreprend. A peine on a fini de lui demander quelque chose que c’est déjà fait, c’est… c’est Domino50, donc Dominique.

Le quatrième membre est le fondateur de la géodyssée, son compteur de caches trouvées augmente tous les jours. Il n’aime pas le rouge mais il vit entouré par les plus grands châteaux du Médoc. Il a toujours une bonne idée pour faire avancer notre passion, il aime discuter avec tout le monde, c’est… c’est Listal33, Alain.

Le cinquième est le secrétaire titulaire, il est connu chez nous pour ses caches dans le sud Gironde (plus qu’aidé par sa femme). Il est géocacheur depuis 2010, il est très carré dans tout ce qu’il fait (donc ma technique de l’organisation à l’arrache va en prendre un coup arf ), il se charge de tout le côté administratif,c’est…. c’est la partie masculine de la team MKL33210, soit Mickael.

Le sixième je ne vous le présente pas car vous l’avez tous compris, j’ai été mis à la présidence suite à un bilan des compétences du conseil d’administration. Vu que je ne savais rien faire, orthographe calamiteuse donc pas possible d’être secrétaire, une organisation à l’arrache donc impossible d’être trésorier, du coup me voilà président, encore un rôle où il faut juste sourire, j’espère donc être à la hauteur. Au fait moi c’est Benoit.

A très bientôt en Aquitaine ou lors d’un event dans le monde.

Hephez s’attèle donc sur son guide illustré et présenté́ par Géo l’écureuil, expliquant les règles et avantages de la chasse aux trésors du XXIe siècle : le Geocaching !

Un livre que les enfants adoreront avoir avec eux cet été, bien plus que leurs cahiers de vacances.

Le principe est simple et séduit petits et grands et pourtant aucun document papier n’explique aux plus jeunes de façon simple comment et où chercher ces trésors. Une situation que veut corriger Hephez. J’y explique que  » Le Geocaching est une activité́ pour toute la famille, qui débute sur ordinateur pour la sélection des trésors à découvrir, et qui se poursuit par leur recherche sur le terrain en se baladant. Pratiquant le Geocaching depuis quelques années, je me suis aperçu que cela intéressait tous ceux à qui j’en parlais. Mais il manquait un vrai support, notamment à destination des plus jeunes, pour leur donner le goût d’essayer. J’ai commencé à réfléchir à un manuel qui expliquerait, avec des mots simples et des illustrations marrantes, comment pratiquer cette activité́ enrichissante.  J’ai contacté par la suite la société́ américaine qui gère le Geocaching pour leur proposer ce projet, qu’ils ont accepté ! « 

Il faut reconnaître que la plupart des trésors dont il est question ne renferment que de petits objets sans grande valeur, des surprises issus d’œufs en chocolat, des messages ou dessins. Mais le plaisir (comme la vérité) du géocaching est ailleurs.  » Le Geocaching motive à sortir, découvrir des endroits parfois juste à côté de chez soi, fait vivre des moments inoubliables en famille ou entre amis, sensibilise au respect et à la protection de la nature, demande un minimum d’exercice physique et peut allier mathématique, français, histoire géographieLe tout dans la bonne humeur. Ce sont là les vrais trésors ! « 

Frédéric a d’ailleurs lui même des caches mystères dissimulées de-ci de-là. Trois trésors doivent voyager et partir en mission : une vache-jouet doit se rendre sur le   » wall of fame  » aux Etats Unis, une momie doit être prise en photo devant les pyramides d’Egypte, et une tortue sur les plages australiennes…

Il n’y a peut être pas de trésors dans votre maison mais certainement un caché près de chez vous alors n’hésitez plus à jouer les Sherlock Holmes et géocacher pour les trouver ! Je cache, tu trouves, nous  » géocachons « . Tout le monde peut jouer, en ville en forêt et même sous l’eau mais si vous voulez un jour pourvoir lire ce livre et l’offrir à vos enfants, n’hésitez pas à soutenir Hephez dans son projet pour qu’il puisse l’éditer !

Sources : My lorraine.fr            KissKiss           Facebook

Quel est votre Karma ?

Vous pratiquez maintenant le géocaching d’une manière assidu, vous êtes accro, vous voulez plus de caches près de chez vous . Il vous arrive de critiquer lorsqu’une cache ne vous plait pas. Mais vous, donnez vous au jeux autant que vous prenez ?


Vous verrez sur cet excellent site Project Geocaching en cliquant sur l’image votre Karma. Y-a-t’il autant de logs sur les caches que vous avez posées que vos propre logs. Ceci est à relativiser bien sur comme toutes comparaisons car les situations sont différentes mais donne quand même une idée de ceux qui donnent plus qu’ils prennent

GéoTour EN Aquitaine vient d’ouvrir ses portes. Mais c’est quoi donc.

C’est une association : Geocaching Tourisme Environnement Numérique Aquitaine (merci notre directeur de com pour avoir trouvé ce nom).


Le but de l’association, c’est de pouvoir en premier monter des events dans de bonnes conditions (demander une salle à une collectivité). Mais aussi proposer au adhérents des sessions de perfectionnement sur des sujets concernant notre passion (choix d’un gps, utilisation de celui-ci, création d’une cache, saisir un beau descriptif… utilisation de GSAK). Et puis faciliter la création d’un geocoin à la couleur de notre Région. Mais aussi promouvoir notre passion.

Nous ne partons pas de rien, nous avons déjà de l’expérience pour monter des events (80 participants lors de l’event d’Arcachon), pour faire des sessions d’initiation (100 moldus initiés sur Bordeaux lors de la semaine Digitale) ou pour la pose de caches en collaboration (Geodyssée). Fort de ces expériences, nous pensons via une association pouvoir aller plus loin et donc offrir plus de plaisir (géocahcing bien sûr wink2) à tous.

Comment aider cette association… c’est simple vous avez plusieurs moyens:

  • Adhérer : C’est simple, cela prend 5 minutes et cela coute 5€, donc pourquoi s’en priver.
  • Faire du bénévolat : Proposez-vous pour nous aider à monter des actions valorisant notre passion.
  • Faire un don : Simplement comme toute association, nous acceptons les dons car il faut de l’argent pour pouvoir concrétiser certains projets.
  • En parler : Parlez-en autour de vous. Nous cherchons toujours des nouveaux volontaires.

Vous pouvez bien sûr ne participer à l’association que par un de ces 4 biais, mais aussi par 2, 3 ou les 4.

Rêvasseries citadines ou sur les bords de l’Erdre rien de tel qu’une bonne ballade par ces temps ensoleillés ! Pimenter vos flâneries nantaises, qu’en dites-vous ? Pour cela très simple, connectez-vous sur le site Geocahing. Qu’est-ce que c’est cette chose, le geocaching ? C’est un jeu de chasse aux trésors, grandeur nature, accessible grâce à des coordonnées GPS à rentrer sur votre téléphone. Ce que j’aime : c’est facile on rentre simplement les coordonnées GPS, c’est gratuit, ludique et des milliers de possibilités (9875 à Nantes exactement !!!) Bords de l’Erdre, Tour de Bretagne, Graslin, Bouffay… toute la ville se transforme en terrain de jeu… Énigmes à résoudre, indices : une ambiance digne des plus grands films d’aventures !!! Ludique mais aussi pédagogique grâce à ces balades surprenantes vous en apprendrez sur vos quartiers préférés !


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Geocaching sur les bords de l’Erdre

Je vous conseille de tester le parcours des bords de l’Erdre, si le cœur vous en dit et les rayons du soleil printanier vous le permettent. C’est un parcours à faire à pied ou à vélo avec plus de 20 trésors à découvrir ! Je m’aventure donc sur les bords l’Erdre après une recherche rapide sur le site, je choisis un parcours débutant, mais pour les téméraires. Aventurières aguerries, sachez qu’il existe plusieurs niveaux de difficulté. Entre les marcheurs et les joggeurs j’ai le nez dans mon Smartphone les yeux rivés sur mon GPS et oui mesdames et messieurs je suis au beau milieu d’une enquête de la plus haute importance ! Du sport, j’en fais moi aussi, du sport de l’esprit, oui oui oui !!! Arrivée sur les lieux du crime je tournicote… C’est fou comme un lieu connu peut tout à coup devenir une terre « hostile » soupçonnée de détenir les plus grands secrets !! Impatiente je lis l’indice, élément précieux : « à 20 m de la porte, soupirail ». Ça y est… je crois que j’ai trouvé…

geocaching-erdre-trésor

Quel plaisir de découvrir « la cache » !!! Le plus souvent, elle n’a rien d’exceptionnel et consiste en général en une petite boîte avec un « logbook » (petit registre papier des visites) et parfois quelques objets… et pourtant quelle fierté de la trouver en premier : prem’s ! hi hi hi !!!!! wéééééééé z’ai gagné !!!!! Et voilà pas 30 ans, toutes mes dents et une âme d’enfant !!! Pensez à bien remettre la boîte à sa place pour que d’autres en profitent, vous pouvez également prendre un des objets si vous en laissez un autre en échange…

Vous pouvez créer et proposer votre propre chasse au trésor (voir les règles sur le site), alors les filles on se fait un remake d’Indiana Jones ?