Journée internationale du géocaching
C’est le 15 août 2045. Et si vous alliez trouver une cache ?
C’est le 15 août 2045. Et si vous alliez trouver une cache ?
Départ entre 7h et 9h pour le moyen parcours de 21 km et 1000 m de dénivelé, et pour le grand parcours de 27 km et 1600 m de dénivelé, jusqu’à 11h pour le petit parcours de 13km et 700 m de dénivelé. Cette année, cent pour cent de sentiers sont inédits.
Les parcours 2015 sont en général plus courts mais sportifs.
Pour les amateurs de géocaching, 20 caches vous attendent sur les parcours (renseignements donnés au départ).
Le petit déjeuner vous est offert, des ravitaillements vous attendent sur les sentiers mais n’oubliez pas votre pique-nique et l’eau indispensable aux efforts.
Pour les randonneurs occasionnels et les enfants, un mini-parcours de 5 km vous est proposé l’après-midi (départ à 13h30).
A l’arrivée, Lo Bartas sera heureux de vous offrir un cadeau en souvenir et votre diplôme de randonneur caussenard.
Pour se rendre à Bécours il faut emprunter soit la D809 (ex-N9) ou bien l’autoroute A75 (sortie 44).
Le fléchage «Brevet du randonneur» sera présent sur la D809 (côté nord et sud) et dès la sortie 44 de l’autoroute A75. Rendez-vous le 14 juin pour une randonnée conviviale et sportive.
Renseignements : 05 65 59 79 28 ou 05 65 60 40 16 et sur le site www.lobartas.com. Inscription sur place : 10 euros (5 euros pour le mini-parcours). Parking sur place.
Les vacances approchent. Pour vous donner envie et en avoir un avant goût, allez donc parcourir les pages de ce site : Géocaching Guadeloupe. Il vous fera découvrir la géographie et l’histoire de ce département.
J’ai découvert ce que c’était que le Geocaching. Imaginez une chasse au trésor dont le terrain est le monde entier, dont les joueurs sont potentiellement tous les habitants de cette planète ayant un portable équipé d’un GPS et de l’application Geocaching, dont la durée est sans limite.
Nous sommes partis avec Elise, Jonas et Noé, un pique-nique dans nos sacs, en vélo, avec comme seul équipement un stylo, et mon smartphone. Grâce à l’application, nous avons visé la première balise, sans très bien savoir ce que nous allions trouver. D’ailleurs on n’a rien trouvé. A la suivante, nous avons découvert, grâce à un indice, un tout petit sachet plastique dans une anfractuosité d’un rocher, à droite d’une jolie cascade.
Dans ce sachet, un petit rouleau de papier serré sur lequel nous avons inscrits nos prénoms et la date. Et nous avons soigneusement remis la balise exactement là où nous l’avions trouvée, pour les suivants.
Et nous avons continué une bonne partie de l’après-midi. Des lieux tous différents, des balises bien cachées ou introuvables, des kilomètres parcourus, un peu d’orientation et de chance, et ce plaisir incroyable de trouver LA balise, de lire les prénoms et les dates, de s’amuser de l’ingéniosité des personnes qui les ont cachées.
Nous avons joué pendant 4 heures, trouvé 7 balises, raté 2. Nous sommes revenus sur le lieu de la première et nous l’avons trouvée! Quelle fierté!.
C’est un jeu pur plaisir, pas de compétition, pas de stress, rien à gagner. Et ça, c’est juste bon, et si différent des jeux auxquels jouent les enfants habituellement.
Allier l’utilisation du smartphone, du GPS, d’une application interactive, d’un réseau contributif au plaisir d’être dehors, de découvrir un quartier, une région, un arrondissement, un village. Quand on veut, si on veut.
Les enfants sont addicts, ça y est. Moi aussi, je dois dire. Nous nous voyons déjà repartir sur nos vélos les soirs d’été à la recherche de nouvelles balises. Nous imaginons déjà nos prochaines vacances et avons déjà repéré si des balises y sont cachées.
Aujourd’hui j’ai partagé cette aventure sur Facebook et vous êtes nombreux à pratiquer! N’hésitez pas à commenter avec vos récits, vos trucs, vos astuces, vos lieux préférés!
PS: et quand j’arriverai à nouveau à activer des liens dans mes billets, j’activerai, j’activerai.
Publié le 17 mai 2015
Partie de cache-cache
Cricket Cache | Chiara Morellato
Le Geocaching est une activité née en Amérique il y a quinze ans, mais encore peu connue en Italie. Dans sa forme la plus simple, ce jeu consiste à cacher une boîte, appelé « cache » qui doit être – évidemment – découvert par les autres utilisateurs. Une fois que le geocacheur a trouvé la boîte, il signe le logbook placé à l’intérieur et remet le tout tel qu’il l’a trouvé afin que celle-ci puisse être repérée par d’autres joueurs. Pour commencer l’aventure, il suffit de se rendre sur le site, de créer gratuitement un compte, de télécharger l’application, de se connecter et d’activer le GPS. Ensuite, il n’y a plus qu’à sortir de chez soi. Les trésors sont souvent de petites boîtes, mais l’on peut parfois trouver des poupées ou des objets bizarres en forme d’insecte ou de pierre, et rien n’interdit d’en inventer d’autres. L’on peut aussi y trouver des appareils photo jetables pour prendre une photo-souvenir, des rendez-vous entre touristes ou des enveloppes à emporter et déposer à d’autres endroits comme s’il s’agissait d’un relais entre voyageurs. Bien que l’on dispose des coordonnées de l’emplacement, il n’est pas si simple de trouver la cache en raison de l’imprécision des GPS, la marge d’erreur variant de 2 à 15 mètres. Quant aux boîtes, elles sont sagement bien cachées afin de résister aux intempéries.
De l’origine du Geocaching
En 2000, le gouvernement des États-Unis a retiré le signal qui affectait la précision des coordonnées géographiques des GPS civils. Un passionné d’informatique et de technologie originaire de l’Oregon, Davis Ulmer, a alors décidé de tirer profit des services de localisation en cachant un objet dans les bois et en mettant au défi les utilisateurs de le retrouver. C’est le début du geocaching. Quatre mois plus tard, le 2 septembre 2000, l’Américain Jeremy Irish lance le site geocaching.com afin d’étendre aux utilisateurs du réseau le loisir de l’exploration et de la découverte d’objets cachés. Lors de l’inauguration du site, il existait 75 caches. Elles sont aujourd’hui au nombre de 2,5 millions réparties dans 184 pays.
Gardiens d’histoires
Les êtres humains ont tendance à effectuer les mêmes trajets. Chaque jour, nous parcourons les mêmes rues pour nous rendre au bar, au travail, à la gym, ou à un dîner avec des amis et il est très rare que nous changions d’itinéraire. C’est une question d’habitude. Mais ce ne sont pas seulement nos jambes qui s’habituent, ce sont aussi et surtout nos yeux. Peu nombreux sont ceux qui sauraient dire la couleur de l’établissement où ils prennent quotidiennement leur petit-déjeuner ou la forme des arbres dans la cour intérieur de leur immeuble. L’explication est simple : nous nous habituons à ce qui nous entoure, autrement dit l’œil identifie rapidement le paysage mais n’est pas aussi habile lorsqu’il s’agit de porter une attention aux détails.
L’application qui vous accompagne dans votre chasse au trésor. |
La première fois que j’ai organisé une chasse pout trouver les caches les plus proches de chez moi, j’ai été étonnée d’en découvrir à six ou sept endroits auxquels je n’avais jamais vraiment fait attention. Parmi eux, la Chaise du diable, place Elio Callistio à Rome, une architecture funèbre datant de l’Antiquité, dont je ne savais rien mais devant laquelle je passais tous les jours pour chercher un stationnement. J’ai également mis les pieds dans une petite église que je voyais tous les matins depuis le bus. J’ai découvert des jardins fleuris cachés derrière les voies de chemin de fer et je me suis arrêtée pour discuter avec un artisan qui travaille sur la digue du fleuve qui passe à côté de la maison de mes parents.
À chaque lieu, une histoire. Comme celle de Gaetano Farfalloni : « Un homme grand à la corpulence massive, parlant peu et agissant vite. Personne ne savait quel métier il avait exercé au cours de sa vie, il avait les mains d’un mineur et le langage d’un poète. Un jour, il décida de partir et, lors de son départ, il déclara qu’il avait besoin de changer d’air. Personne ne le revit pendant douze ans, jusqu’à ce qu’il réapparaisse un jour avec un petit arbre et qu’il dise que c’est tout ce qui lui restait mais qu’il était content. Je l’ai planté il y a des années et, aujourd’hui encore, il est possible de le voir au centre d’une très belle place à Rome. » Telle est la description d’une geocache.
« Il existe une devise au sein de la communauté des geocacheurs dont la véracité s’est confirmée plusieurs fois, raconte Eric Schudiske, responsable des médias sociaux à Geocaching, selon laquelle toute personne qui se laisse prendre par ce jeu est une personne bien vivante. Le Geocaching donne une raison valable d’explorer le monde qui nous entoure. Quelque chose dans notre ADN nous pousse à vouloir savoir ce qui se trouve derrière un coin ou au-delà d’une colline. Chaque cache offre une histoire, un lieu, une position. » Un autre aspect très amusant du Geocaching est lié aux mésaventures rencontrées lors des chasses : celle d’un geocacheur qui a failli se faire arrêter car il avait mal lu les coordonnées GPS et avait pénétré dans une propriété privée, celle d’un autre qui s’est perdu dans les montagnes au point de se retrouver dans les journaux locaux, ou encore celle de celui qui s’est fait une peur bleue.
« Chaque cache offre une histoire, un lieu, une position. »
« Le moment le plus étrange a été de me retrouver dans un bois en pleine nuit à la recherche d’une cache qui portait le nom de “quelqu’un vous observe”. Si le nom était assez inquiétant, le lieu et l’heure n’arrangeaient rien. Au final, le trésor était la tête d’un mannequin qui pendait de la branche d’un arbre et, en la voyant de loin, j’ai été terrorisé. Je ne l’oublierai jamais », se souvient Eric Schudiske. Enfin, l’on peut aussi entendre l’histoire de celui qui a remplacé une cache par un engin explosif. Une histoire vraie qui s’est déroulée il y a quelques mois à Padoue, sur la place des Seigneurs, et qui a conduit à l’évacuation des touristes et à l’intervention des démineurs.
Qui joue le plus ?
Le Geocaching est joué aussi bien aux États-Unis qu’en Europe. Si la première cache européenne a été posée en Irlande, l’Allemagne est le pays qui a développé une véritable philosophie en la matière. Les geocacheurs allemands sont très nombreux et ont le taux de participation le plus élevé d’Europe. Sur un total de près d’un million de caches dissimulées dans toute l’Europe, l’Allemagne en compte plus de 330 000. En Italie, où la première geocache remonte au 27 mars 2001, l’on en compte 14 500 pour 100 000 joueurs.
Et pour jouer, il faut avoir l’équipement approprié : des gants de jardinier, une pince, une lampe torche, une carte, un crayon, ainsi que des chaussures et des vêtements adaptés.
Auteur
traducteur
Sur le coté gauche de l’écran vous avez la possibilité de filtrer les caches indiquées sur la carte et en dessous un lien à cliquer pour sauvagarder les caches qui apparaissent dans une pocket query.
Lorsque vous cliquez sur le lien la page des pockets queries apparait. Vous sélectionnez ce que vous souhaitez, indiquez la distance du rayon de recherche cercle par rapport au point central et soumettez le tout pour recevoir presque immédiatement le mail de geocaching.com vous informant que la pocket query est prete.
Elle apparaît dans l’onglet pocket query comme indiqué dans l’image ci-dessus.
Voila qui va simplifier grandement la préparation des sorties géocaching et remplacer efficacement l’add-on GC Tour.
Antipode MJC, dans le cadre d’Urbaines 2015, présente
SAMEDI 21 FÉVRIER 09h30 – Gratuit – Nombre d’équipe participante limité à 7.Inscription indispensable au 02.99.67.32.12 ou accueil@antipode-mjc. Rendez-vous à 9h30 à l’Antipode MJC !
Muni d’un système GPS vous partirez en équipe, le temps d’une journée, à la recherche de caches dissimulées dans des lieux culturels de la métropole rennaise et des friches industrielles. Pour se faire, vous déchiffrerez des données codées qui vous permettront de recueillir des indices pour se lancer à l’assaut d’une ultime cache. L’équipe gagnante sera celle qui trouvera cette dernière.
Matériel, non fourni, nécessaire pour participer : un système GPS (GPS, smartphone avec accès internet…). Une petite lampe de poche est également vivement conseillée.
Notre jeu devient de plus en plus populaire et ses règles semblent évoluer. Tout va vers plus de facilité. Bientôt plus besoin de poser de boite, de mettre des log book, de faire des caches D5. On exagère pensez-vous ? mais non regardez ces deux caches. Dans la première les found-it se font sans qu’il y ait de cache semble-t-il et dans la seconde c’est le coup de fil à un amis qui l’autorise.
C’est bien ainsi, non ce n’est pas la bonne manière de jouer, aller, donnez donc votre avis sur le forum !
Etait-ce bien raisonnable d’aller quérir, en ce lundi de janvier, jour précis où le ciel versait des larmes de chagrin, une cache ? L’envie a été plus forte que la raison. Et qu’importe la pluie, elle n’a pas arrêté pas le chercheur de trésors. Tout a débuté avec la lecture du dernier magazine de Laudun-l’Ardoise, Le Mag’. La page intitulée « A la recherche du patrimoine avec Géocaching » a sérieusement titillé ma curiosité.
Une découverte ludique
L’invitation est faite d’opérer « une découverte ludique ! Nouveaux habitants, randonneurs aguerris, familles : partez explorer votre commune en rajoutant une touche de mystère. Grâce à une application accessible à tous, appréhendez dès aujourd’hui différemment le patrimoine. »
Le GPS me sert de guide
Cette proposition est d’autant plus attrayante qu’il m’a suffi de télécharger sur mon smartphone l’application avant de choisir un site à découvrir. Une fois celui-ci sélectionné, le GPS me sert de guide jusqu’au monument et indique par un résumé l’histoire de celui-ci ». Facile donc.
Le choix de l’aqueduc de Balouvière
Chaussures de randonnée aux pieds, l’heure est venue de rejoindre l’aqueduc de Balouvière, puisque tel est le monument que j’ai choisi. A l’angle des rues de la Paix et Jean-Baptiste Charcot, la flèche d’orientation indique que je pars dans la bonne direction. Peu avant la rue du Portalet, je découvre au loin les arènes, avec les caractéristiques barrières peintes en rouge. Pas de panique, un regard sur mon smartphone, me rassure. Je marche toujours dans la bonne direction.
Un résumé qui débute en mode humoristique
Mon itinéraire n’est peut-être pas le plus rapide, le plus court, mais qu’importe. Ce n’est pas une course de vitesse. A 383 mètres de ma destination, voilà qu’apparaît le résumé de l’aqueduc, en mode humoristique pour commencer et plus sérieux ensuite. « Un gigantesque travail de Romains que de transporter le Pont du Gard à Laudun ! Alors en 1870, dans la combe de Roubaud, on en fit une réplique pour capter l’eau et l’acheminer vers un vaste réservoir afin d’alimenter fontaines et lavoirs. Il enjambe la Balouvière, plutôt ruisseau que rivière. Construit en calcaire et briques, il présente à sa base une arche unique, cinq arches constituent le premier niveau et 18 arches le second où cheminait l’eau. Je vous propose donc de le visiter, de le découvrir et de l’admirer. Et éventuellement, si vous avez le temps, de trouver ma boite avant de lever le camp. »
Une plaque de lave confirme que je touche au but
Justement, je suis en route pour cela. Parvenu au bout du boulevard Pablo-Picasso, le GPS indique que je dois prendre à droite. Dans le prolongement du boulevard, je grimpe encore dans la rue Jean-Pierre-Florian. Les panonceaux de couleur jaune des chemins de randonnée viennent confirmer que je suis à proximité de l’aqueduc ce qu’une plaque de lave confirme à quelques mètres.
Commencez à chercher la géocache
Il reste 30 mètres à parcourir, l’aqueduc se présente à la vue. Sur mon smarphone, un avertissement s’affiche : » Vous êtes tout près. N’oubliez pas que l’exactitude du GPS est de 10 mètres. Alors commencez à chercher la géocache.
Je n’ai pas trouvé la cache
Ce que je vais entreprendre. Mais trempé, alors que la luminosité décline un peu et que l’impatience a visiblement gagné la partie, ma recherche sera succincte. Et l’objet de taille « S » déposé par Pascoli, va toujours rester en place.
Ce qu’est le géocaching
Le géocaching est une chasse au trésor moderne, high-tech. Elle se pratique à l’aide d’un GPS ou d’un smartphone. Pour commencer l’aventure, il faut d’abord se rendre sur un site de géocaching. Ensuite, il faut se laisser guider avant de parvenir à proximité de la cache puis de la trouver. Libre ensuite au chercheur de devenir cacheur et de laisser un objet. »
Ce qu’ils en disent
Pascal Lallement, chercheur de trésors depuis 2005, a posé 448 caches uniquement dans le Gard rhodanien qui ont reçu 82 848 visites. Il en a trouvé 8 000 lors de ses sorties, y compris celles à l’étranger. Pour lui, « toute initiative qui encourage les gens à sortir de chez eux pour bouger et découvrir leur environnement est la bienvenue.
Philippe Pécout, maire de Laudun-l’Ardoise : « Nous avons un certain nombre d’amateurs de géocaching sur la commune, en particulier de jeunes couples et leurs enfants. C’est un moyen ludique et sportif parfois qui permet aussi aux petits et aux grands de jouer, de chercher et de s’approprier un lieu ou un territoire de façon intelligente. C’est un bon moyen de découvrir et valoriser notre commune, son patrimoine et son environnement. »
Patrick Scorsone, géocacheur laudunois : « Je pense que c’est bien pour découvrir Laudun. Le marché du géocaching explose, il faut prendre le train le plus vite possible. »