Du coup le log est immédiat ce qui simplifie l’affaire. Vous pouvez ensuite aller mettre un commentaire sur la page du Munzee si vous le souhaitez (regardez ).

Le comptage des points est aussi intéressant :

  1. Trouver un Munzee = 5 points
  2. Cacher un Munzee = 5 points
  3. Pour chaque personne qui scan votre Munzee = 3 points

Ainsi chaque joueur est incité à placer des Munzee dans des endroits fréquentés pour augmenter son nombre de points. Cela devient également plus facile de cacher en milieu urbain et supprime bon nombre de maintenances.

Bref, une vrai bonne idée. Nous avons mis un lien direct sur la page d’accueil du site. Oui mais il faut un smartphone nous diriez vous. En fait la question est plutôt combien de temps résisterez vous avant d’en prendre un !

Bienvenue dans la communauté.

« Nous sommes un groupe de randonneurs, cyclistes, passionnés de technologie, chasseurs de trésor, scouts,
familles et de simples amoureux de la nature qui méritons de chasser au trésor comme nous le souhaitons.

Et c’est exactement pour cette raison que nous avons créé ce site : pour remettre le pouvoir dans les mains
de la communauté. Et pour nous donner la parole à tous sur la façon dont la chasse au trésor se développe. »

On aime bien ce message d’accueil du site OPENCACHING

Gratuit et ouvert.

Pas d’abonnement. Pas de cotisation. Et la communauté est au contrôle.

Géré par les utilisateurs.

Vous contribuez à déterminer quels trésors sont répertoriés et quelles fonctionnalités sont ajoutées.

Téléchargements en un clic.

Envoyez des trésors directement sur votre appareil portable et commencez la chasse immédiatement.

Recherches simplifiées.

Notre carte sur écran large et notre système de notation exclusif rendent la recherche facile.

Un indicateur plus fiable est le « GeoKarma » = Ratio entre les Finds de mes caches placées / Nombre de caches trouvées ;)
Exemple:
– J’ai trouvé 48 caches,
– J’ai posé 3 caches qui ont déjà été trouvées 8 fois.
Mon GeoKarma actuel est donc de 0.17 (8/48)

Un objectif de 1 semble honnête = Je trouve une cache aussi je permets à un autre joueur de trouver l’une des miennes…

Donc celui qui place une cache bien planquée réservée aux Premium members à tout faux et celui qui place des drive-in avec beaucoup de visites va avoir un super karma. Bon, on ne parle même pas de Papounet83 il a « pété » son karma .

 

 

La géocache gagne des adeptes chaque jour. Parmi ceux-ci, il y a Éric Godbout, personne-ressource du RÉCIT du Service local de l’Abitibi – Témiscamingue – Nord-du-Québec. Depuis qu’il a été initié à cette activité au cours de laquelle il a eu à chercher avec sa famille plusieurs caches disséminées dans son coin de pays, en Abitibi, il est devenu un fervent de géocache. À son tour, il a transmis sa passion à deux autres personnes-ressources du RÉCIT, François Rivest et Steve Quirion. Ce sont donc trois personnes conquises d’avance qui ont fait vivre une activité de géocache à une cinquantaine de gens du RÉCIT lors de la rencontre nationale du mois d’octobre à Duchesnay. Elles ont aussi offert un atelier de type buffet (formule où tout le monde collabore à enrichir le contenu proposé) pour dégager ensemble les valeurs pédagogiques d’une telle activité. Des idées intéressantes et des conseils pertinents sont sortis de cet atelier. L’intention de tout cela était de voir comment les élèves pourraient tirer profit de cette activité pour faire des apprentissages. Et cela est prometteur.

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Nous avons eu beaucoup de plaisir à chercher les caches lors du mega event de la montagne Bourbonnaise. A cette occasion nous avons pris des travel bugs pour les faire voyager. Voila que le problème commence.

La taille des caches proposées diminue de plus en plus et il va devenir difficile de replacer des TB volumineux. Impossible en général dans les caches urbaines et pourtant ce sont celles qui sont le plus visitées. Le placer dans une cache perdue au sommet d’une montagne visitée 2 ou 3 fois par an ?

Nous avons donc des TB à placer. Une sortie géocaching avec un vingtaine de caches en perspective devrait nous permettre de les placer. Que neni ! des micros, de petites small ! bref, à la fin de la journée nous restons avec les TB. Un peu dépité nous rentrons et au moment de loguer nos découvertes, un mail du propriétaire d’un des TB nous demande si nous allons bientôt le poser à nouveau !

On lui explique et on se dit que la prochaine fois on laissera sur place le gros TB dans une cache perdue au fond des bois !

Donc futur propriétaire de TB faites attention de ne pas les faire trop volumineux !

Equipe Rabatau

LES VISAGES DE L’ACTUALITÉ |

Judith et Jérémy Kean ne déterrent pas des louis d’or enfouis dans la campagne montreuilloise. Ces Anglais, propriétaires d’une maison de vacances à Camiers, ne chassent que les trésors touristiques. Pour pénétrer dans leur monde merveilleux de geocacheurs, il n’y a qu’à suivre son… GPS !

1 – Un geocacheur sachant cacher… … est un bon geocacheur, qu’on se le dise ! Derrière ce mot anglais se cache un loisir qui a le vent en poupe. L’idée, c’est de randonner à la recherche d’une « cache » (voir ci-dessous), dissimulée dans un endroit digne d’intérêt : un panorama à couper le souffle, une bâtisse originale… Le tout guidé via des coordonnées préalablement entrées dans un GPS. Pour corser le jeu, et lui donner une touche de chasse au trésor, il y a souvent des énigmes à résoudre pour déchiffrer des codes utiles à la progression du promeneur. « Ce sont de bonnes idées de balades, avec des choses intéressantes à découvrir, pas toujours touristiques d’ailleurs… Mais toujours accessibles à tous », expliquent Judith et Jérémy Kean, à l’origine de plusieurs circuits dans le Montreuillois, où ils ont dissimulé une quinzaine de caches.

2 – Pour vivre heureux,vivons geocaching.

Judith Kean a découvert le geocaching dans un article, il y a six ans, et a converti son mari et ses deux enfants. « Nous aimons marcher, mais les enfants n’ont pas toujours envie de nous suivre. J’ai trouvé que c’était une bonne idée pour les encourager. » Banco ! La famille s’inscrit alors sur le site gratuit geocaching. com, qui référence les circuits dans le monde entier. « Mais s’il y en avait chez nous, à Oxted, il n’y avait rien à Camiers. » Ni une ni deux, les Kean décident de cacher de petits « trésors » dans la nature montreuilloise, pour faire découvrir à la communauté des geocacheurs les merveilles de ce coin de France qu’ils affectionnent. Parmi les lieux qu’ils recommandent : « l’église et la mer » à Camiers « l’huître de Whitstable » sur le port d’Étaples les environs du cimetière anglais d’Étaples les éoliennes… « Tout est question d’imagination. Souvent ce sont des lieux de nature préservée ou de petits clins d’oeil amusants ! » Sur le site, le couple indique le niveau de difficulté de l’énigme et du terrain, ainsi que le temps estimé.

3 – L’arbrequi cache la forêt.

Si certains fans comptent à leur actif des milliers de caches, Judith et Jérémy n’en sont pas là. « Nous ne sommes que des amateurs.

Pour nous, c’est d’abord un jeu. » Pour preuve, le couple, à l’humour british, a mis une cache tout près de son domicile, « histoire de s’amuser à voir les gens chercher » derrière un panneau ou une rambarde… Une quinzaine de caches en tout, pas plus. « Car il faut s’en occuper, venir voir que tout est en place régulièrement. Beaucoup disparaissent, à cause du vent, des animaux, d’autres sont volées. » Mais le couple est formel, d’autres geocacheurs sévissent dans les environs. Des pseudos qu’on retrouve sur Internet, à côté d’autres caches à découvrir : les blockhaus de Camiers ou le sommet du Mont Saint-Frieux… Et à voir les messages laissés sur place (une autre tradition de geocacheurs), nombreux sont les touristes à s’y frotter. À croire que beaucoup aiment chercher la petite… boîte !

PAR ÉLODIE ADJOUDJ
montreuil@lavoixdunord.fr

 

Chasse aux trésors 2.0 en Haute Bretagne

un article intéressant de territoire.info

 Chasse au trésor nouvelle génération, le géocaching se pratique à l’aide d’un GPS et se prolonge en ligne. En juillet 2009, le Comité départemental du tourisme (CDT) d’Ille-et-Vilaine a décidé d’utiliser le concept pour promouvoir son patrimoine. Bonne pioche : adeptes et novices d’ici et d’ailleurs répondent à l’appel.

« Promouvoir les pépites du département auprès des touristes et des habitants en mêlant les nouvelles technologies et la découverte du territoire. » Caroline Pionnier, chargée de mission TIC* et webmarketing pour le Comité départemental du tourisme d’Ille-et-Villaine (CDT 35), rappelle l’ambition initiale. Après celui du Doubs, le CDT 35 a été le deuxième en France à se lancer dans l’aventure. « Et depuis le lancement, il ne se passe pas un mois sans qu’un autre CDT ne nous appelle pour avoir des renseignements sur notre démarche et s’en inspirer ! »

Plus de 800 personnes se sont déjà inscrites sur le site www.tresorsdehautebretagne.fr, et la croissance est exponentielle. « Il y avait très peu de membres au début, et depuis début 2011, la communauté a quasiment doublé », se réjouit Caroline Pionnier. « Nous avons aussi acheté 25 GPS pour que les offices de tourisme puissent en louer à ceux qui le désirent. Dans certains, ils sont réservés tous les week-ends ! »

Pépites impromptues

Trésors de haute Bretagne, le site du géocaching en Ille et Villaine

Jeu novateur pratiqué aux quatre coins du monde, le géocaching est un moyen original de faire connaître son territoire. « Les géocacheurs cherchent des caches créées par des géoposeurs. Ce sont souvent des boîtes hermétiques afin qu’elles soient à l’abri des intempéries. Elles sont situées dans l’espace public et dans des endroits accessibles sans danger. Une fois découvertes, les géocacheurs récupèrent un ou plusieurs « trésors » qui s’y trouvent, en déposent d’autres et mentionnent leur passage. On distingue deux types de caches : les standards, avec un point de départ et un point d’arrivée, et celles à énigmes, ou multicaches. C’est alors un circuit jalonné d’énigmes à résoudre. » Sur la cinquantaine de caches estampillées « Trésors de Haute Bretagne », plus de 80 % sont à énigmes.

Un calvaire perdu, un dédale de petites ruelles inattendues comme à Saint-Brieuc ou à Cancale, des curiosités qui ne figurent pas dans les guides touristiques, voire même que les habitants ignorent… Les trésors de Haute-Bretagne sont autant de pépites à découvrir. Et pour les caches à énigmes, la matière ne manque pas non plus : « Nous avons la chance d’avoir un territoire culturellement riche. Une terre de légendes, de forêts, de châteaux et de chevaliers… » L’objectif est aussi de « valoriser les professionnels : crêperies, restaurants, cafés, musées… Dans la forêt de Fougères, nous avons ainsi conçu un grand parcours d’une demi journée qui se termine par la base de loisirs de Chênedet. »

Géocaching en Haute Bretagne - livret

Pascal Trémaudant, 50 ans, est géocacheur depuis un peu plus d’un an (cf. encadré). « Le géocaching permet de trouver d’autres buts de balades. Ma femme aime beaucoup les caches du CDT car elles sont réfléchies et mettent en valeur le patrimoine. Dans Rennes, par exemple, elles nous ont permis de découvrir des choses que l’on n’avait pas remarquées comme des mosaïques de carrelages signées Odorico. »

Jeu communautaire

« Il existe une vraie communauté de géocacheurs confirmés », souligne Caroline Pionnier, « et nous avons préféré les associer à notre réflexion pour ne pas aller à l’encontre du mouvement mondial. Toutes nos caches sont donc validées avant publication et inscrites sur le site officiel, www.geocaching.com. Lors de la mise en place des caches, nous avons aussi sympathisé avec des géocacheurs. » Certains d’entre eux sont même devenus « béta testeurs », comme Pascal Trémaudant, chargé par Caroline Pionnier de tester l’une des prochaines caches du CDT 35.

« Le géocaching fonctionne aussi à travers l’entraide », assure-t-il. « La communauté de géocacheurs est très amicale, et par exemple, lorsqu’on ne trouve pas une cache, il suffit de contacter une personne qui l’a déjà faite pour avoir un petit indice. Et c’est aussi pour cela qu’enregistrer son passage en ligne est plus important que de le faire sur place : l’intérêt est de partager avec les autres… même si on n’a pas trouvé, car 90 % des géocacheurs n’indiquent pas lorsqu’ils ont échoué ! »

Régulièrement, des rassemblements géants nommés « events » permettent aussi aux géocacheurs de se rencontrer, comme le 27 août à la Bernerie-en-Retz. « Le matin, on échange entre géocacheurs et on pique-nique, et l’après-midi, on est lâchés avec une feuille de route. Mais des fois, c’est un petit peu un marathon de la cache, on s’attache moins à la beauté du site… »

L’ouverture en bémol

Pensé comme un jeu grand public, l’ensemble des caches du CDT 35 sont publiées sur leur site et non pas uniquement sur le site officiel, www.geocaching.com. Une ouverture aux non-initiés qui fait grincer quelques dents. « Le CDT veut bien faire, mais cela pose un petit problème d’éthique, car leurs caches sont ouvertes à tous, même ceux qui ne connaissent pas les règles du géocaching. C’est dommage, car ce sont de belles caches », témoigne Pascal Trémaudant. Suivre un travel bug sur des dizaines de milliers de kilomètres et perdre sa trace parce qu’un non initié l’a récupéré pour faire office de porte-clefs, c’est sûr que ça peut agacer… « Et dans la communauté de www.tresorsdehautebretagne.fr, on voit à travers les commentaires que beaucoup n’ont pas le respect dû aux géoposeurs, ceux qui créent les caches. Ils ne se rendent pas compte des difficultés que cela représente. »

 

Goodies et travel bugs

 

Lorsque l’on découvre une cache, il faut choisir un « trésor » et le remplacer par un autre. Dans les boîtes de ses caches, le CDT 35 a mis « plein de petits goodies : crayons, porte-clés, jetons de caddies… Et comme notre cible est les familles, nous y plaçons aussi des jeux pour enfants. » Bien vu : « je dois trouver une solution pour trouver des objets de remplacement, car ma fille de 10 ans veut prendre de plus en plus de trésors lorsque nous trouvons une cache ! », sourit Pascal Trémaudant.

Géocaching en Haute Bretagne - geocoin

Parfois, les caches contiennent aussi un travel bug (plaque en métal avec un numéro de série unique et généralement attachée à un objet) ou un geocoin (pièce de monnaie avec une face personnalisée et une face avec un numéro de série). 23 geocoins portent d’ailleurs les couleurs de la Haute Bretagne. Et quel est l’intérêt ? Référencés par tous ceux qui les découvrent, on peut suivre en ligne leur voyage à travers le monde, parfois même avec des photos à l’appui. « J’ai acheté un geocoin « perso », qui me permet de suivre tous mes déplacements sur une carte. », témoigne Pascal Trémaudant (voir capture d’écran ci-contre). « Mais surtout, j’avais une vieille Nevada qui affichait 345 000 kilomètres au compteur et j’ai envoyée dans le jeu une clé avec la mission de parcourir au moins autant de kilomètres que ma voiture. »

* Technologies de l’information et de la communication

www.tresorsdehautebretagne.fr

www.geocaching.com

www.bretagne35.com

 Le virus du géocaching

Géocaching en Haute Bretagne - famille Trémaudant

la famille Trémaudant en plein géocachingPascal Trémaudant, chef de projets en informatique à Chateaubourg, 50 ans et père de deux enfants (10 et 13 ans), ne connaissait pas le géocaching il y a un an. Aujourd’hui, il avoue être complètement mordu.

« J’ai connu le géocaching l’année dernière, au retour des vacances, grâce à un collègue qui m’a fait part de son expérience. Je suis assez joueur dans l’âme, malgré mon âge, et ça m’a paru très sympa. Je me suis inscrit et j’ai proposé à ma petite famille de faire une première chasse au trésor à côté de chez nous. Ça a été un vrai fiasco, et nous avons abandonné. Mais nous avons remis ça un mois plus tard. Petit à petit, nous avons prospecté aux alentours de Châteaubourg et toute la famille s’est prise au jeu. Et depuis cet été, chacun a son propre compte de géocacheur ! Désormais, on fait environ deux sorties par mois, c’est devenu un vrai hobby. Nous avons même acheté exprès un GPS randonnée avec option chasse aux trésors ! Et c’est pareil au bureau : sur 13 personnes, nous sommes déjà six géocacheurs, et au retour des vacances, nous avons passé deux jours à nous raconter nos expériences. J’en parle autour de moi, j’emmène des amis et suis même devenu géoposeur : je suis pris dans une vraie spirale ! »

Mis en ligne le 21 septembre 2011
Thibaut Angelvy - Journaliste et webmaster

Dimension touristique indéniable pour le lancement du géocaching le long de la Route touristique du champagne. Vertus a accueilli cette grande première et une centaine de participants.

 DRÔLE d’affluence samedi matin dans la cour de l’école du Donjon. Pour une fois, il y avait largement plus d’adultes que de têtes blondes. « 90 participants, dont 57 équipes et 6 enfants ! », s’enthousiasme l’organisateur, Marcel Aubert, derrière la table d’accueil, occupé à charger les données du secteur de Vertus sur le GPS de chaque participant.
Tous avaient répondu à l’appel du géocaching, une activité ludique qui prend de plus d’essor à travers le monde. Et la Champagne n’y échappe pas !
« L’activité peut se pratiquer seule ou en groupe », explique Simon Volant, un Marnais qui a découvert le géocaching il y a 3 ans. Pour résumer, cela mélange le plaisir de la randonnée touristique à l’intérêt d’une chasse au trésor.
« Le jeu est mondial, on compte environ 31 000 caches. Le but est de découvrir des boîtes de différentes tailles refermant des objets en se basant sur des énigmes et des repères GPS. »
Les boites peuvent être dissimulées dans des grottes ou sur des falaises (niveau 5), ce qui explique que certains soient équipés de baudriers et de cordes. Ces boîtes contiennent plusieurs objets, dont notamment un carnet de passage qui permet aux joueurs de communiquer sur leur aventure.
La cache trouvée est ensuite partagée sur le web à l’attention des géocacheurs du monde entier.
Parmi les objets, se dissimulent des « voyageurs » très spéciaux, les « travel bug », qui vont de cache en cache à travers le monde grâce à l’aide des géocacheurs.
Celui de Vertus a pour nom « Madame Chardonnay » et se retrouvera peut-être un jour au milieu des vignes de Californie…
Vaste engouement
Le grand plaisir des initiés est d’être les premiers à découvrir une cache nouvelle. Le site web qui compile l’ensemble des énigmes, permet aux gens de partir à l’aventure quand ils le veulent.
« L’intérêt d’un rassemblement de masse (event) vient du fait que les participants se dirigent sur des caches différentes et vont se croiser au fur et à mesure de la journée, et au final se retrouver. C’est très convivial ! » explique Simon.
Dans la foule, outre les Champenois, on pouvait retrouver des Belges, des Lorrains, des Picards, des Bourguignons, des Franciliens, ou encore des personnes venues des Pays de Loire.
Formidable vecteur de communication touristique, l’event vertusien a été soutenu par le CIVC, le CRT, et les CDT de la Marne et de l’Aube afin de faire découvrir ou redécouvrir la Route du champagne au plus grand nombre. Les officiels ont ainsi offert à tous un sympathique petit-déjeuner et quelques petits cadeaux de bienvenue en Champagne.
Philippe Wibrotte, responsable des relations publiques du CIVC, souligne l’engouement national voire international, suscité par le géocaching.
« Les caches sont établies en fonction d’un paysage ou d’un élément de patrimoine. Les joueurs découvrent ainsi des lieux insolites, hors des sentiers battus, qui sont susceptibles de provoquer un coup de cœur pour la Champagne et le champagne ! Les professionnels du tourisme et les producteurs de vins ont tous à y gagner. »
Une fois passé le moment de la distribution du précieux travel book, les joueurs sont rapidement partis arpenter la région.
Tout s’est logiquement terminé au soir autour d’une coupe et d’un repas bien mérité avec la satisfaction d’avoir trouvé bon nombre de caches et surtout des amis.

L’Union du 20/09/2011