Geocaching dans le Bearn

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A la recherche d’une cache

1.  Je prépare mon sac avec : piles de rechange, gants, tige télescopique, crayons, log book d’urgence, téléphone et objets à échanger si je le souhaite.
Je mets une tenue appropriée et préviens de mon départ. Je regarde les caractéristiques des caches : difficultés, taille des boites et attributs.

2.  J’arrive vers la cache et m’efforce d’être discret pour ne pas la dévoiler aux autres. Je n’y vais pas tête baissée sur mon GPS mais prends le temps d’observer où elle pourrait être et comment y accéder sans rien dégrader. Je la prends délicatement et mémorise bien son emplacement.

3.  J’inscris la date et mon pseudo sur le log book (plus s’il est important). J’échange un objet de même valeur ou ne prends rien. Si je prends un objet voyageur (il y a un numéro dessus) je m’engage à le loguer sur geocaching.com et à le déposer rapidement.

4.  Après avoir bien refermé la boite,  je la dépose au même endroit, la dissimule et vérifie en partant qu’elle n’est pas visible. Sur le site www.geocaching.com je logue ma visite sur la page de la cache en donnant mes impressions et en remerciant.

Le principe est simple : à l’aide d’un GPS (ou d’un iPhone), il faut trouver des caches (une boite contenant un calpin, un crayon et quelques « trésors ») en se fiant aux coordonnées indiquées sur le site web officiel de Geocaching.

Le géocaching est vraiment l’activité idéale à réaliser en famille par une belle journée d’hiver quand la neige brille par son absence. À ma grande surprise, les caches sont très nombreuses à Kingston et nous en avons même plusieurs dans notre propre quartier!

Alors samedi après-midi, animés de l’enthousiasme des débutants, nous sommes partis explorer le parc à deux pas de chez nous à la recherche de notre premier trésor. Malheureusement, nous avons fait chou blanc… comme les 10 dernières personnes qui avaient tenté de le trouver avant nous! D’où l’importance de lire les commentaires concernant une cache AVANT de partir.

Mais, avant de réaliser notre erreur, nous avons cherché, cherché et cherché… Sans savoir vraiment à quoi ressemblait ce que nous cherchions, car nous en étions à notre premier essai. Frustration et déception étaient au rendez-vous! Après 20 minutes, Audrey et moi étions prêtes à abandonner, mais mon Guerrier et Sofia ne voulaient pas lâcher le morceau! Finalement, après 10 minutes ils ont dû lâcher prise et accepter la défaite…

Afin de ne pas nous avouer vaincus aussi facilement et pour conclure l’expérience sur une note positive, nous sommes partis à la recherche d’une deuxième cache. Pour enfant celle-là… et eurêka! Nous l’avons trouvée! Je ne pourrais dire lequel de nous quatre était le plus excité par la découverte ;)

Nous avons vraiment eu le coup de foudre pour le géocaching. Il permet de prendre l’air, de passer du temps en famille, mais surtout il nous fait découvrir des endroits que nous n’aurions peut-être jamais trouvés. Comme les sentiers pédestres qui se cachent derrière notre bibliothèque municipale, et qui mènent au bord de la rivière. Banc de parc inclus!

Nous avons tellement aimé notre après-midi, que dimanche nous sommes repartis à l’aventure. Mais cette fois-ci, armés de toute notre expérience. Par exemple, TOUJOURS être accompagné de mon Guerrier! Mon sens de l’orientation est complètement déficient… même avec une carte! Et j’arrive à me perdre avec un GPS…

Par contre, je me débrouille bien dans l’art de trouver les caches, car j’aime observer les détails et remarquer ce qui ne semble pas « naturel » dans l’environnement (3 morceaux d’écorces d’arbre qui forment une pyramide). Et aussi grâce à la fonction « Indices » du site web de géocaching (« regarder à l’intérieur du tronc du plus gros arbre »).

Et, finalement, faire provision de « gugusses » afin de prendre un trésor de la cache et pouvoir en laisser un en échange. Détour par le Dolloroma et, au programme cette semaine, fouille intensive dans nos traineries internationales (épinglettes, coins, etc.).

Sofia, naturellement, est complètement folle du géocaching et attend avec impatience de pouvoir y retourner. De tout ce que nous avons fait pendant les vacances de Noël, c’est ce qu’elle a le plus hâte de partager avec ses amis à l’école!

Mon Amour aussi a eu le coup de foudre. Il cherche maintenant LA place idéale pour installer notre propre cache et suivre son évolution.

Moi j’ai hâte de découvrir mon premier « travel bug » (un objet que les gens déplacent d’une cache à l’autre jusqu’à ce qu’il remplisse la mission choisie par son propriétaire) et j’ai encore plus hâte de placer le mien dans une cache et suivre son évolution au fil des « logs » de ceux qui le trouveront!

Audrey, de son côté, ce sont les trésors qui l’intéressent… roses de préférence ;)

Pour toutes ces raisons, j’espère que nous pratiquerons encore longtemps le géocaching avec nos filles. Surtout parce que nous pourrons nous y adonner au fil de nos mutations, de nos voyages et de nos road trips. Une façon facile, agréable et économique de découvrir notre environnement, de transformer un simple déplacement en chasse au trésor ou de bonifier un voyage à l’étranger.

Même notre prochaine visite au Target de Watertown risque d’être intéressante pour tout le monde ;)

Je pars à la recherche d’une cache

1. Je prépare mon sac avec : piles de rechange, gants, tige télescopique, crayons, log book d’urgence, téléphone et objets à échanger si je le souhaite.
Je mets une tenue appropriée et préviens de mon départ.
Je regarde les caractéristiques des caches : difficultés, taille des boites et attributs.

2. J’arrive vers la cache et m’efforce d’être discret pour ne pas la dévoiler aux autres. Je n’y vais pas tête baissée sur mon GPS mais prends le temps d’observer où elle pourrait être et comment y accéder sans rien dégrader. Je la prends délicatement et mémorise bien son emplacement.

3. J’inscris la date et mon pseudo sur le log book (plus s’il est important). J’échange un objet de même valeur ou ne prends rien. Si je prends un objet voyageur (il y a un numéro dessus) je m’engage à le loguer sur geocaching.com et à le déposer rapidement.

4. Après avoir bien refermé la boite,  je la dépose au même endroit, la dissimule et vérifie en partant qu’elle n’est pas visible. Sur le site www.geocaching.com je logue ma visite sur la page de la cache en donnant mes impressions et en remerciant.

Je place une cache

1. Je prépare ma boite : hermétique,  solide qui ne se dégrade pas rapidement comme les boites de glace pour éviter les maintenances. J’y place un log book, un crayon, une notice sur le jeu (disponible sur différents sites et forum) ainsi que des objets d’échange pour les enfants. Une boite travaillée qui sort de l’ordinaire sera un must.

2. Je réfléchis à l’emplacement  (plus de 161 mètres d’une autre cache) car de nombreux géocacheurs vont la chercher. Il ne faut pas que leur passage trace un sentier jusqu’à ma cache. Je choisis un support qui ne risque pas d’être dégradé. En ville j’évite les coins un peu trop isolés car ils deviennent souvent dépotoirs ou lieux d’aisance.

3. Je prends les coordonnées en recommençant plusieurs fois. Je juge de la difficulté de la cache et du terrain pour un joueur moyen. Je réfléchis à un hint explicite et je prends une photo spoiler éventuellement.

4. Je crée la page de ma cache sur le site. Moment de pure création. Là encore il y a des aides sur les sites et forums. Il ne faut pas hésiter à prendre conseils pour la rendre attirante. Je n’oublie pas d’indiquer les attributs qui aideront à sa découverte.

Si vous souhaitez le télécharger

Le geocaching à Vieux Boucau

Et pas de géocacheurs des Landes sur notre carte, snif..

Je voulais déjà signaler que le géocaching était classé dans cool cadeau mais c’est un loisir GRATUIT et tout le monde peut le faire, pas besoin de coffret cadeau je ne sais pas comment ça se fait et pas moyen de changer alors… On va faire comme ça:)

LA DECOUVERTE

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Geocaching.com nous rappelle les nouveautés de 2011
en vidéo

La première association de géocaching du Territoire de Belfort a été créée cette semaine par Julie Rossi et Gérald Frigotto. Le géocaching est une nouvelle activité, connaissant un fort développement en France. Il s’agit d’une chasse aux trésors high-tech qui s’effectue à l’aide d’un GPS ou d’un smartphone. Le but est de trouver un trésor caché dans la nature le long d’un circuit pédestre. Pour certaines caches, les participants doivent résoudre des énigmes plus ou moins difficiles qui leur fourniront les coordonnées GPS du trésor.

« Le géocaching peut être pratiqué de 7 à 77 ans et toute l’année, il permet de découvrir le patrimoine, les paysages et les richesses de notre région. Les personnes qui ne sont pas équipées de GPS peuvent également participer, nous avons un système de prêt gratuit », souligne Gérald Frigotto, président de l’association.

L’association Géocaching 90 a pour buts de réunir les « géocacheurs » de la région, d’organiser des événements locaux et de faire découvrir l’activité. Professeurs des écoles, les deux fondateurs de l’association souhaitent développer également l’esprit pédagogique et familial du géocaching, en proposant des séances de découverte aux enfants et aux parents qui souhaitent se lancer dans l’aventure. « Les caches ne sont jamais placées au hasard, le lieu où elles se trouvent a toujours un intérêt culturel ou historique », précise Julie Rossi.

Avec un millier de caches en Franche-Comté dont 148 répertoriées dans le Territoire de Belfort, l’Aire urbaine va devenir un vaste terrain de jeux pour ces nouveaux chasseurs de trésors.

CONTACTER Gérald Frigotto : 06.99.75.14.00. Julie Rossi : 06.14.30.64.45. Site internet : geocaching90.wordpress.com Courriel : geocaching90.free.fr

Entre tourisme, balade sportive et chasse au trésor saupoudrée d’high tech, voici le « geocaching ». Énième anglicisme se tapant l’incruste dans la langue de Molière (la chose est née aux USA), la pratique emmène le promeneur à la découverte d’endroits ou de monuments parfois oubliés des guides touristiques. Ça frémit dans le Cambrésis. Rencontre avec deux pionniers.

PAR FABIEN BIDAUD

cambrai@lavoixdunord.fr PHOTOS « LA VOIX »

Léger sac à dos, chaussures de marche, stylo et smartphone dans la pogne : Pierre Descamps est prêt à aller déterrer une « cache ».

Direction le cimetière Notre-Dame, à Cambrai. Bip ! bip !, le petit bijou high tech nous mène jusqu’à la tombe du père du plus célèbre Cambrésien, Louis Blériot. Il ne nous faut pas cinq secondes pour aviser la petite bassine retournée derrière la sépulture contenant une boîte en plastique. Normal : c’est Pierre qui l’a planquée. À l’intérieur, un stylo, un rouleau de papier et deux ou trois babioles. On vient de découvrir notre première cache.

Né il y a une dizaine d’année outre-Atlantique, le geocaching perce en France depuis un peu plus d’un an. Derrière un quarteron d’initiés, le Cambrésis commence à clignoter dans les radars GPS. Entre jeu de piste et balade (parfois) sportive, l’idée est de faire découvrir un lieu hors des sentiers battus, aussi bien en ville qu’en pleine nature. On dissimule une « cache » (une boîte en plastique ou, par les cache citadines, un « aimant » de la taille d’un dé à coudre) avec quelques objets sans valeurs et un carnet rappelant les règles du jeu et permettant de recevoir l’autographe des « trouveurs ». « En faisant bien attention de ne pas dégrader les lieux », précise Pierre. Deuxième règle d’or : bien dissimuler la cache pour éviter qu’une main étrangère au jeu ne la sape. Il ne reste plus qu’à indiquer sur le site internet (voir ci-dessous) les coordonnées GPS de l’endroit et la chasse peut démarrer. Pierre a semé une petite dizaine de « trésors » à Cambrai et alentours. Dans des endroits déjà repérés (les portes de Paris ou Notre-Dame) ou des lieux plus insolites (au pied des pierres jumelles, deux menhirs monolithes enterrés). C’est son frère arrageois qui l’a mis au parfum. « Au départ, je faisais ça pour passer le temps, puis je me suis pris au jeu », dit celui qui « chasse » avec son fiston de 10 ans. Il a ainsi mis le pied sur des territoires insoupçonnés. « Je ne pensais pas, par exemple, qu’on pouvait grimper sur un terril. Je viens de faire celui de Loos-en-Gohelle. Là-haut, c’est magnifique ! »

Devinettes

Les « caches » peuvent être moins prestigieuses. C’est le créneau de Guillaume Lisicki, 25 ans, qui planque notamment sur les terres agrestes de Vertain, près de Solesmes. « Ici, la difficulté, c’est qu’il n’y a rien qui vaut le détour. » Rien a prio ri. Car celui qui travaille chez Alstom Petite-Forêt a déniché quelques endroits qui ravira le promeneur. Comme ce « Chemin des libellules » en bord de ruisseau, belle promenade au milieu des pâtures. Et quand le « prétexte physique » n’est pas à la hauteur, le jeune homme pimente l’affaire en offrant à la sagacité des flâneurs une série d’énigmes dignes d’Indiana Jones menant aux coordonnées GPS de la cache. À Valenciennes, il propose ainsi un parcours de 36 devinettes. En contrepartie, il profite des caches de ses coreligionnaires, notamment durant ses vacances. « Avant de partir, je regarde s’il y en a sur le trajet. Comme ça, au lieu de faire une pause sur le bord de la route, on va chercher une cache. » Dans le Ternois, notamment, l’office de tourisme s’est associé à une association locale en mettant à disposition des GPS pédestres. Rien de tel pour l’instant dans le Cambrésis, où l’office a juste « entendu parler » du geocaching. •

Les rédactions de La Voix du Nord la Voix du Nord

Le CDT Haute-Bretagne dévoile ses trésors cachés grâce au geocaching,
by groupeReflect

Sep 10 2009

Lorsque le CDT Haute-Bretagne m’a demandé si je connaissais une agence qui pourrait les accompagner dans la mise en place d’un projet outdoor de découverte innovante et ludique du territoire, mon sang n’a fait qu’un tour… Imaginez un territoire riche de nombreuses légendes et autres mystères, patrie de Merlin l’enchanteur, de Surcouf, d’Arthur, roi des bretons qui fut le seul à tirer l’épingle du jeu la mythique Excalibur du Roc, des Korrigans que vous croiserez peut-être à proximité des nombreuses Mégalithes qui jonchent la région… Bref, l’endroit idéal pour une opération de géocaching !

Géoquoi ?

Si on s’en tient à la définition de wikipédia, le géocaching est un loisir qui consiste à utiliser la technologie du géopositionnement par satellite (GPS) pour rechercher ou dissimuler un contenant (appelé « cache » ou « géocache ») dans divers endroits à travers le monde. En très gros donc, utiliser des satellites de plusieurs millions de dollars pour chercher et trouver des tupperware dans le bois, pour reprendre un visuel très connu des géocacheurs.

Lancé en 2000 aux Etats-Unis suite à l’ouverture du système gps anciennement militaire au grand public, le geocaching est un donc en quelque sorte une chasse aux trésors “high tech”. Près de 900.000 caches sont dissimulées à travers le monde, la France et son modeste territoire si on le compare à la superficie des Etats-Unis en comporte un peu plus de 12.000. A noter également qu’une entreprise de Seattle, Groundspeak, est aujourd’hui dépositaire du nom et éditeur du site geocaching.com qui concentre l’ensemble des pratiquants à travers le monde.

Ok, donc je peux trouver des tupperware cachées grâce aux satellites… ça sonne bizarre votre truc !

En fait pas tout à fait. Il vous faudra un récepteur gps, qui vous permettra de vous géolocaliser sur le globe.

Geocaching by groundspeak

N’importe quel gps peut faire l’affaire, les gps de rando offrant un confort supplémentaire puisque bon nombre d’entre eux permette d’afficher des fonds de carte topographiques facilitant le positionnement sur le terrain. L’iPhone (encore lui) est ainsi un excellent moyen de s’initier au géocaching (téléchargez l’application geocaching de groundspeak, et lancez-vous !), les produits evadeo (IGN) et garmin également…

Une fois équipé de votre gps, il vous suffit de saisir les coordonnées de la cache ou d’un point intermédiaire qui vous permettra après avoir résolu une petite énigme (pas obligatoire) de trouver le trésor mérité.

Différents types de caches, de différentes tailles sont ainsi dissimulées parfois sous des pierres, dans le creux des arbres, etc… Et ce la plupart du temps à proximité de points d’intérêts remarquables. Chaque cache dispose d’un petit texte explicatif qui vous présente le lieu, son histoire, et enfin les étapes à respecter avant d’atteindre la cache.

Ok j’ai compris le principe… Donc vous avez fait ça avec le CDT Haute-Bretagne ? Quels sont les bénéfices ?

Nous avons effectivement réalisé l’opération de A à Z, en étroite collaboration avec les équipes du CDT Haute-Bretagne mais également avec les Offices de Tourisme locaux qui ont pu apporter leurs connaissances de leurs territoires respectifs.

Le géocaching s’avère être une excellente activité à vivre en famille ; Il dope l’imagination et la curiosité des plus jeunes, tout en offrant une présentation innovante et ludique du territoire pour les plus grands. Bon nombre de familles ont déjà franchi le seuil des Offices de Tourisme de la Haute-Bretagne, qui en s’appuyant sur le site Internet réalisé dans le cadre de l’opération peuvent ainsi imprimer les fiches des caches et les remettre aux touristes, accompagnés d’un petit dépliant expliquant le concept de l’opération également réalisé dans le cadre de l’opération, et enfin mettre à disposition des touristes des gps de randonnée pré-configurés.

Le géocaching est par ailleurs un loisir mondialement représenté, et tout particulièrement développé au Royaume-uni, Benelux, Allemagne… Autant de pays dont les touristes viennent chaque année profiter des charmes de la Haute-Bretagne, des cibles supplémentaires pour cette opération !

Pour finir, le géocaching, de part sa nature, est une activité ludique et «pas cher» pour les touristes, totalement en phase avec «l’ambiance» du moment…

Site Internet, Dépliant, Caches… Quel dispositif avez-vous préconisé ?

L’opération s’appuie sur un site Internet, le coeur du dispositif, disponible en deux langues (Fr & Uk) : tresorsdehautebretagne.fr. L’objectif ici était de présenter l’opération auprès du grand public (hors géocacheurs qui ont eux été ciblés via geocaching.com), s’appuyant sur une cartographie mettant en avant les caches réalisées dans le cadre de l’opération (une vingtaine pour cette première saison), mais également les caches du réseau geocaching.com. Les internautes sont invités à se créer un compte avant de se lancer dans l’aventure (datacollecting).

À la découverte des trésors cachés de Haute-Bretagne Ille-et-Vilaine

Un dépliant présentant le concept du geocaching et l’opération a également été réalisé. Celui-ci accompagne les fiches des caches imprimées depuis le site Internet et est remis aux touristes lorsqu’ils se présentent dans les Offices de Tourisme. Cette démarche n’est néanmoins pas obligatoire, bon nombre de terminaux gps aujourd’hui commercialisés permettant de télécharger les descriptifs des caches directement sur le gps.

Nous avons par la suite, en collaboration avec le CDT et les OT, dissimulés une vingtaine de caches sur le territoire, puis rédigé les énigmes et descriptions en tirant notamment parti de la matière fournie par le client. Les fiches des caches sont disponibles en Français et Anglais, et également accessibles sur le site geocaching.com

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