Après avoir beaucoup parlé de plaques d’immatriculation lors de divers événements et expositions, un geocacheur a entamé des discussions et travaillé avec le Gouvernement et geocaching.com. Une fois que le cacheur était en mesure d’obtenir le minimum requis de 200 personnes qui acceptent de payer une taxe pour être propriétaires des plaques d’immatriculation, la première série a été livré. Ces plaques ont été présentées à l’évént Block Party Geocaching.

Un article de Nicole MARSHALL
GPSCity.com


 


Combiné avec cet accessoire, il peut vous guider vocalement en voiture par exemple. Vous pouvez aussi le mettre sur votre vélo et le lier à la plupart des accessoires ANT+ tel que ceinture cardio, etc.
Il existe plusieurs version du Montana. Tous ont en commun:
– Un grand écran tactile de plus de 10cm de diagonale, c’est vrai qu’il est grand.
– Un altimètre barométrique,
– Un compas électronique 3D où 3-axes (qui s’oriente avec vous quand vous tournez sur vous même place),
– 3G de mémoire interne (pas mal!)

Le modèle de base est le Montana 600. Le 650 offre en plus une caméra intégrée de 5MP, et le 650t est fourni avec une carte interne, en général de randonnée (varie selon les pays).

Celui dont je vais vous parler aujourd’hui est le Montana 650t, mais comme vous l’avez compris, 99,5% des données de ce test s’appliquent également au 600 et 650.

Vouloir faire une explication exhaustive du Montana reviendrait à re-créer l’encyclopédie Universalis du fait du grand nombre de fonctions du GPS. N’étant pas très fort en création d’encyclopédie, je vais donc me concentrer sur les points différents par rapport aux autres GPS. Je vais donc aborder:
– La taille/poids
– L’écran tactile
– La robustesse
– La taille de l’écran/luminosité
– L’autonomie
– Les cartes
– La personnalisation
– Les raccourcis
– L’appareil photo (650 et 650t uniquement
– Le transfert des données sur GarminConnect
– Conclusion: Un GPS pour qui? (c’est en bas de la page si vous voulez tout de suite connaitre la fin!)

– La taille/poids:
Alors oui, le Montana est volumineux, mais c’est la contrepartie du grand écran et de la caméra. Il pèse aussi 300 grammes.
Il se tient quand même bien en main, pour marcher ou courir ça passe. Avant que j’oublie, toutes les photos/images du Montana sont en anglais mais en 2 clics vous pouvez passer le Montana en français. En fait j’ai commencé à l’utiliser comme ça donc je m’y suis fait.



– L’écran tactile (+ après une mauvaise expérience):

Je parle tout de suite de l’écran car c’est la première question que l’on me pose quand on m’aborde sur ce GPS.
Le Montana est sorti il y a environ un an. Bon, je le dis à chaque fois, mais Garmin n’excelle pas dans la fiabilité de ses nouveaux produits. Et le mien n’a pas dérogé à la règle, l’écran tactile a rendu l’âme fin de l’année dernière. Heureusement, ils gèrent bien la partie SAV et j’en ai reçu un tout neuf 3 semaines plus tard.
A l’époque, j’ai donc commencé à regretter d’avoir pris un tactile plutôt qu’un appareil équivalent comme le GPS Map 62s qui jouit d’un excellente réputation. Mais je dois être honnête, depuis ce retour de garantie et de nombreuses mise-à-jour, je suis très satisfait de l’utilisation tactile depuis maintenant 1 année. Comme vous le voyez sur les photos, même avec des gants humides, de la poudreuse un peu partout, on navigue très facilement.
La sensation au niveau de l’écran est équivalente à celle que l’on peut avoir avec le Edge 800, la taille de l’écran en plus qui pardonne mieux les erreurs de pression.
Mais pour avoir une bonne expérience avec le Montana, assurez-vous de bien tout mettre à jour! Il y avait pleins de bugs au début, il y a eu 19 mises à jour en 1 an environ! Toutes n’ont pas été des correctifs de bugs, mais cela fait quand même un paquet pour un GPS à ce prix.
On arrive donc peu à peu à un modèle enfin fiable (on est en décembre 2012…). Je n’ai plus d’extinction intempestive ou de bug bizarre, ça a mis le temps, mais du coup je l’utilise de plus en plus et il commence à bien me plaire.

– La robustesse (+):
Vu le prix de l’engin, je faisais bien attention au début: Nettoyage de l’écran, rangement dans sa housse tous les soirs avant de dormir, etc.
Mais c’est du solide! Je l’ai fait tombé quelques fois, il a pris la boue, la neige, la poussière et je ne note pas d’usure particulière.




– La taille de l’écran (+) / luminosité (moyenne):
Rien à dire, c’est bien agréable. Même par rapport à un Edge 800. Les cartes sont bien lisibles et on n’est pas obligé de toujours devoir zoomer/dezoomer. A condition de se doter de la bonne carte, j’en parle un peu plus loin.



Au niveau luminosité, on ne voit quand même pas grand chose quand on désactive le rétro-éclairage. A réserver lorsque l’on veut maximiser la durée de la batterie. On peut régler la luminosité, mais tout comme mes autres Garmin, j’aime avoir l’éclairage au moins à 60% et toujours actif.
A noter que l’orientation change automatiquement en fonction de la position du GPS, comme un iphone ou ipad. Sauf que je n’aime pas trop donc je l’ai bloqué en version portrait en rando et en paysage pour la voiture.

– L’autonomie (OK pour moi mais peut encore s’améliorer):
Je mets ce sujet en début d’article car c’est une question souvent posée. Le garmin est annoncé à 16h avec la batterie et 22h avec des piles AA. Je n’utilise que la batterie intégrée et il est vrai que je ne pense pas pouvoir arriver à 16h en mode rétro-éclairage toujours allumé… Mais je ne suis jamais à la recherche d’une longue autonomie car j’utilise mes GPS rarement plus de 6h. Pas de soucis de mon côté donc, mais pour atteindre les 16 heures, oubliez le rétro-éclairage le plus possible, vous perdrez néanmoins pas mal du côté de la lisibilité.


– Les cartes (- car trop chères mais indispensables):
Si c’est votre premier Garmin, prenez en compte que vous allez devoir déboursez des euros supplémentaires pour acquérir une carte. Soit en CD/DVD, soit en carte SD que vous insérez dans le Garmin.
La version CD/DVD permet d’avoir les cartes sur votre PC hors ligne. Les cartes SD sont moins cher mais il n’y a qu’un ‘slot’ de carte SD dans le Montana.
Avec la carte de base, on ne peut rien faire. A moins de juste vouloir prendre des autoroutes, ce qui avouez serait un peu dommage en rando.
Voici ce que l’on voit avec la carte de base:


Vous ne voyez rien? C’est normal, c’est la carte de base et je ne suis pas près d’une autoroute…
Le modèle 650t est fourni avec la carte « Récréational Europe », voici le même endroit avec cette carte activée:


C’est déjà mieux! Le défaut de la carte « Récréational », c’est qu’on ne peut pas utiliser les fonctions de guidage par adresse, etc. Donc c’est quand même un peu moyen.

Voici enfin le même endroit avec la carte de rando de type TOPO:


Là, c’est bien mieux non? Il faut avouer, c’est le top, mais c’est cher: 130e pour la dernière version V3 Topo France en CD/DVD. Equivalent aux cartes 1/25,000, on peut utiliser les fonctionnalités de guidage, les détails sont bien lisibles. C’est super, mais c’est trop cher quand on a déjà déboursé 400e pour le GPS…
On peut activer ou désactiver les cartes facilement:


– La personnalisation (+… ou moins c’est selon…):
Avec le Montana, vous pouvez presque tout personnaliser. Les menus, les profils, les actions, les couleurs d’affichage, etc.
C’est top pour celui qui s’en sert régulièrement. pour celui qui l’utilise une fois par mois voir moins, on n’oublie facilement où se trouve les fonctions…
La clé est donc de personnaliser les « profils ». Ce sont des paramètres d’affichage que vous personnalisez en fonction de votre utilisation. Comme ça vous ne devez pas jongler à chaque fois avec tous les réglages!
Voici les profils existant dans le Montana le profil « work » est un profil que j’ai créé.



Voici l’écran principal du Montana en mode « Fitness » que j’ai personnalisé:

En haut à gauche, vous voyez la réception satellite, puis les coordonnées GPS, le niveau de la batterie. Si vous cliquez sur le bouton « power », vous voyez l’autonomie restante en pourcentage, ce qui est un peu plus précis que les barres de niveau. Ensuite vous avez les icones d’accès aux fonctions, comme les apps d’un iphone /ipad en somme! Vous pouvez également ajouter d’autres pages si besoin.
Enfin vous avez une flèche qui permet d’accéder à d’autres menus comme les fonctions de réglages, etc.

Voici maintenant le Montana en mode « voiture »:

Il y a moins de menus et la fonction de guidage (Where To?) est un peu plus accessible
Dans ce mode, j’ai réglé la carte en mode 3d comme cela le serait dans un GPS de voiture.

Une fois les profils personnalisés ou créés, on peut rapidement choisir celui qui convient sur le moment et ne pas commencer à chercher dans les menus.
Cette partie de réglage est vraiment importante selon moi et donc il faut prendre le temps. Vous les peaufinerez au fur et à mesure que vous maitriserez l’appareil, mais au moins vous aurez une base solide sans devoir sans arrêt modifier les réglages. Garmin aurait pu rendre cette partie de personnalisation directement faisable sur l’ordi, mais bon…

Pour les courageux, allons maintenant un peu plus dans le détail:
Quand on n’allume le GPS, on arrive sur la page principale avec un accès aux différents menus. Comme vous l’avez noté, tout cela est personnalisable.

Le menu réglage n’apparait pas donc il faut sélectionner la flèche qui laisse apparaitre d’autres menus:


Vous noterez qu’il y a encore une page avec d’autres menus:

Et encore une!


Ca fait beaucoup non? Vous comprenez pourquoi il faut soigneusement bien régler tout ses profils. Sur cette dernière page, je n’utilise pratiquement jamais ces menus. On peut même les supprimer.

Pour régler l’ordre d’apparition de ces menus, on sélectionne les réglages (set-up sur la première page), puis on descend jusque « menu principal » (main menu):


On arrive sur cette page, où l’on peut ajouter des menus, les déplacer, etc. Dans ce cas-ci, je déplace le menu carte (map):



Chaque changement que vous faites ne s’applique qu’au profil sélectionné.

Voyons les menus les plus importants:

– La carte:
Tout est personnalisable: le niveau de détail, l’orientation, la vitesse de la carte, niveau de zoom, taille du texte, etc.
On a vu que l’on peut l’orienter en 2d pour une utilisation de type rando ou 3d pour une utilisation en voiture. En regardant l’écran de plus près, vous pouvez voir une flèche:

Celle-ci laisse apparaitre des informations. En l’occurence, un chrono tout simple:


C’est ce que l’on appelle un « dashboard », et devinez quoi? Vous pouvez le personnaliser!
Dans le menu « map », choisissez « dashboard »:

Sélectionnez celui que vous voulez.


Voici quelques exemples. Le mieux est de les essayer pour voir ce que cela donne:




Comme je l’ai montré tout à l’heure, vous pouvez choisir vos cartes. Il y a d’autres options de personnalisation mais celle-ci est selon moi la plus innovante par rapport aux autres GPS que j’utilise jusqu’à présent. En pratique? OK je ne m’en sers pas… J’utilise le « trip Computer » que vous voyez ci-dessous.

La partie en haut est ce qu’ils appellent le « dashboard », comme sur le mode carte en somme. Ensuite vous avez une succession de données… personnalisables.
Voici la liste de toutes les données disponibles:





On note donc que le Montana est compatible avec une ceinture cardiaque et un capteur de cadence. En revanche, pas possible de le coupler avec un capteur de puissance comme sur les Edge. Dommage…

– Les raccourcis: (Bonne idée, mais améliorable):
Comme il y a plein de réglages, Garmin a mis en place la possibilité de créer des « raccourcis ». Il s’agit en fait d’une suite d’actions rendues automatique.
Quelques exemples:
1: si vous voulez rentrez chez vous, au lieu de sélectionner « où aller » puis de rentrer une adresse ou POI, etc. vous pouvez choisir une action qui vous permet de rentrer directement chez vous. C’est d’ailleurs une fonction disponible sur la plupart des GPS.

2: Je laisse toujours le GPS en mode « enregistrement », donc avant de commencer un parcours, je veille à bien effacer la carte en cours d’enregistrement. J’ai donc créé un raccourci « Reset Track ». Au lieu de devoir parcourir les menus, j’appuie sur ce bouton et cela supprime directement la trace en cours. C’est pratique, mais comme toutes les fonctions expliquées depuis le début, il faut prendre le temps de les créer au préalable. Il faudrait être capable de les créer facilement sur ordi, car sur le GPS ce n’est pas très convivial.
Voici la liste des raccourcis existants:


Voici les détails du raccourci « reset track », Il y a 2 actions (voir setup=2).

Ensuite il faut aller dans chaque section et sélectionner l’action utile:

Bon, comme d’hab, il faut chercher un peu et on s’en sort…
Cela pourrait être mieux fait et aussi faisable sur l’ordi car c’est un peu long à faire sur l’appareil.

– L’appareil photo (peut mieux faire!):
L’idée d’intégrer un appareil photo numérique avec le GPS est excellente. Je me suis dit que je n’allais plus avoir besoin de le trimbaler avec moi.
En réalité, ce n’est pas vraiment extraordinaire pour faire des belles photos. A savoir également que le Montana n’a pas de flash.
Voici une petite comparaison avec un Canon PowerShot 8 MP. Je suis loin d’être un bon photographe donc tout est reglé en automatique, je vise et toc! Rien de flagrant sur ces 2 photos mais voici tout d’abord le Montana:


Puis le Canon:


Le Canon rend un peu « bleu », le Montana lui est un peu « jaune »
La différence est plus nette dès que la luminosité est mauvaise. Je n’ai pas de photos sous la main, mais avec le Montana, c’est pas top.
Le plus gros problème est la vitesse d’exécution du Garmin. Pour un paysage ça va, mais si vous voulez immortaliser votre rencontre avec un Dahu, il va falloir prendre des risques…

– Le couplage avec les appareils ANT+: (+ mais manque le couplage avec un capteur de puissance):
Voici les fonctions de couplage du Montana: Ceinture de FC, capteur de cadence, et un ajout récent: un capteur de température extérieur:

Bon, pas de capteur de puissance. Non que je rêvais de rajouter 300g sur mon guidon de vélo de course, mais pour une utilisation ponctuelle à l’entrainement et bénéficier du grand écran (pas exemple quand on roule dans des nouvelles contrées), cela aurait été pas mal. Mais voilà, Garmin ne nous en donne pas la possibilité. Je ne vois pas trop la logique mais il va falloir faire avec…

Le couplage avec les appareils ANT+ compatibles est commun avec les autres Garmin: on l’active, on laisse le GPS cherchez l’appareil, et c’est parti.

– Le transfert des données sur GarminConnect/Strava ou autres sites (OK mais pas aussi facile qu’avec les edge):
Une fois votre rando terminée, il faut sauver votre « activité ». Le Montana parle plus en terme de trace mais en gros c’est pareil (les puristes m’excuseront…).
Sauf que les choses ne sont pas aussi faciles que pour la série Edge. Comme je le détaille dans l’article du Edge 500, il suffit de brancher le Edge, aller sur « télécharger » et le site montre tout de suite toutes les activité du Edge.
Pour le Montana, vous allez tout d’abord voir ceci, jusque là tout va bien:


Mais ensuite il dira qu’il y a aucune ou au mieux 1 activité à télécharger (celle qui correspond à la trace en cours)


Mais No panic! Il faut juste faire un téléchargement manuel:

Sélectionnez les activités dans le Garmin dans le dossier GPX:



Cliquez sur « téléchargement des activités à partir d’un fichier », et voilà, on s’y retrouve!



– La précision du GPS (OK pour moi, mais à analyser plus précisément):
J’ai lu pas mal de débats concernant la précision du Montana. Je n’ai pas fait de test très poussés par rapport aux autres GPS. Ce que j’en retire pour le moment est que je n’ai pas de soucis en ce qui concerne la précision concernant la position ou le calcul de la distance parcourue.
Concernant le calcul du dénivelé total, je pense qu’il y a encore un peu de travail à faire concernant les données de calcul du dénivelé sur le Garmin. Celles qui apparaissent dans GarminConnect me paraissent en ligne à ce que j’ai effectué, mais sur cette exemple ci-dessus le Montana m’affichait beaucoup plus de dénivelé positif.
Ce n’est que sur cette sortie que j’ai comparé les données GPS vs GarminConnect donc je dois faire quelques autres exemples avant de pouvoir tirer des conclusions.

– Le Montana en voiture:
Le Montana peut se coupler à un kit afin d’ajouter la voix pour les directions. Je n’ai pas ce kit mais j’ai essayé quand même de naviguer dans Bruxelles. Sans le kit, le GPS emet juste des Bips… Bon et bien je me suis trompé plusieurs fois de route. Donc sans kit, ce n’est pas terrible. J’espère  pouvoir le tester dans quelques temps avec la voix…

– Conclusion, un GPS pour qui?
Tout d’abord, le Montana arrive enfin à maturité donc on peut enfin l’utiliser sans avoir peur d’un arrêt intempestif en pleine rando… En tout cas en ce qui me concerne.

> Si passer du temps à configurer votre GPS vous rebute, oubliez le Montana tout de suite. Au moins c’est clair! Car j’ai vraiment commencé à prendre du plaisir à l’utiliser une fois que j’avais paramétré chaque profil selon mes besoins. Sans cela, vous passerez plus de temps à regarder votre GPS plutôt que les paysages!

> Pour une utilisation Rando, le Montana est très bien adapté! Avec une carte TOPO au 25,000, la taille de l’écran permet un rendu vraiment sympa. C’est mieux que le Edge 500 comme j’ai pu l’expérimenter. Attention de bien gérer la luminosité pour maximiser la batterie.

> Pour la Rando/Course, pour ceux qui ne sont pas à quelques grammes près ni gênés par l’encombrement, c’est pas mal aussi. De nouveau, la taille de la carte rend les choses bien agréables. Evidemment, le Garmin Fenix (attention, pas encore totalement fiabilisé) ou le Suunto Ambix sont mieux positionnés

> Pour le VTT, je me vois bien l’utiliser également. Pour les sorties tranquilles ou découvertes de nouveaux territoires. En revanche pour les sorties plus engagées, les courses, le Edge 800 ou Edge 500 sont plus adaptés.

> Pour le vélo de route. Bon, pourquoi pas en mode Cyclo, randonnées sur plusieurs jours, etc. En revanche, pour les sorties quotidiennes, entrainement, etc. le Edge 800 ou Edge 500 s’imposent. Ils gèrent le capteur de puissance donc c’est un plus par rapport au Montana.

> En voiture, peux-être avec le « kit » voiture, mais pas sans. Comme je n’ai pas testé avec, je ne me prononce pas.

> En mode piéton, en ville, impeccable.

> Pour un usage professionnel, dans une utilisation qui ne nécessite évidemment pas de relevés trop précis, il est solide, résiste aux chocs, poussière et est une bonne alternative au GPSmap 62 pour ceux qui veulent profiter de la facilité de l’écran tactile.

Regardez le blog de Claude ICI

Quelle est votre description éclair pour quelqu’un qui n’a jamais entendu parler de geocaching?

Le géocaching est une chasse au trésor moderne où vous utilisez des périphériques compatibles GPS pour retrouver les conteneurs cachés par des gens partout dans le monde. Je parie avec vous, il y a une cache cachée à quelques pas d’ici.

Lorsque vous avez commencé Geocaching.com, quelle taille imaginiez-vous que la communauté de géocacheurs prendrait ?

Quand j’ai commencé à travailler sur le site, je n’ai pas pensé à ce qu’allait devenir la communauté. J’étais intéressé par la façon dont la technologie de géolocalisation marchait. Je voulais aussi savoir comment je pourrais créer un site web qui attire beaucoup de géocacheurs. La raison égoïste, c’est que je voulais que les gens cachent plus les caches donc que j’en ai plus à découvrir.

Etes-vous aujourd’hui toujours surpris par la créativité des caches placées par les géocacheurs ?

Comme le jeu a augmenté, la créativité des sortes de cache a également augmenté. Aujourd’hui, je finis par être plus surpris à propos de cache que je l’ai été il y a cinq ans. Certaines personnes investissent des centaines de dollars dans les expériences les plus uniques pour les géocacheurs juste pour l’amour de l’activité ou apporter leurs esprits créatifs.

Quel est votre type préféré d’environnement ou de terrain pour faire du géocaching ?

Mes trésors préférés sont ceux qui occasionnent de longues randonnées, C’est donc plus l’endroit que le conteneur qui me plait. Hiking Old Man de Coniston au nord-ouest Angleterre était une de mes expériences notables cette année, en partie pour la randonnée et surtout parce que je l’ai fait avec cacheurs locaux.

De quelle manière pensez-vous que les activités ludiques liées au GPS vont se développer et évoluer dans les prochaines années?

Les smartphones sont le nouveau dispositif primaire GPS. De nombreux nouveaux géocacheurs le sont après avoir mis en place une application géocaching sur leur téléphone. Nous aurons plus de possibilités d’expérimenter avec des expériences de géocaching plus interactives, un peu comme nous l’avons fait lorsque nous avons expérimenté Wherigo il y a quelques années. Nous voulons compléter les expériences créatives que les gens font avec leurs trésors avec des outils numériques et du contenu. Les 10 prochaines années devraient être plus passionnantes que les dernières!

 

article publié par

http://fivequestionsforyou.com/2012/12/11/jeremy-irish/

 

 

Il a essaimé de beau département de caches « nature » comme celle ci-dessous. Des découvertes offertes dans leur petites enveloppes signée la Luciole Sourire parait-il.

Il se lance maintenant dans les caches T5. De quoi faire souffrir de nombreux géocacheurs qui ne demandent que çà.

Papounet 83 on te dit merci et surtout, continue !!!

Dans un temps limité, les enfants, avec l’aide de leurs parents, tenteront de résoudre le plus d’énigmes possibles : combien le Père Noël a-t-il de rennes ? Combien de lettres reçoit-il chaque année ? Où dit-on qu’il habite ? Et d’où vient la tradition de la bûche de Noël ? Attention, il faudra être malin ! Les participants choisiront eux-mêmes parmi toute une série d’énigmes celles qu’ils vont tenter de  résoudre à l’aide de leur GPS pour rallier les balises suivantes.

Familles, rendez-vous le dimanche 23 décembre 2012, mercredi 26 décembre 2012 et mercredi 2 janvier 2013 sur le domaine skiable des Saisies. Une session par demi-journée.

A la poursuite du Diamant

A l’occasion de la Saint-Valentin, 6 énigmes destinées aux amoureux devront être élucidées pour décoder les coordonnées GPS exactes et découvrir où se cache le précieux bijou. Une pierre précieuse de 600€.

Rendez-vous le jeudi 14 février 2013 sur le domaine skiable des Saisies. Session unique.

Chasse aux œufs de Pâques pour les gourmands !

Avis aux mangeurs de chocolat, petits et grands, la chasse aux œufs de Pâques prend cette année un nouveau tournant. Équipé d’un plan sur lequel figure les 3 maxi œufs disposés dans la station et à proximité, les « chasseurs » devront trouver les délicieux chocolats grâce à leur GPS pour remplir leur panier et faire le plein de gourmandises !

Lundi 1er avril 2013 dans la station des Saisies, et sur les sentiers de randonnée. Session en temps limité par demi-journée.

Pour davantage d’informations, contactez l’office du tourisme des Saisies et téléchargez notre flyer.

Voir sur le blog de Garmin

Le champion des placeurs de caches 2012

Peyo64

Nous avons ce résultat avec Project JC. On dit MERCI à Peyo64 de nous proposer ainsi de nouvelles caches. Notre activités est toujours en évolution. Il faut sans arrêt découvrir et placer de nouvelles caches. Un travail de recherche pour les placeurs pour toujours innover. 

Samedi 8 décembre 2012,
les Géocacheurs de Provence, Géocacheurs de Partout proposent
les Automnales Rencontres des GDP
TOULON 2012

A quelques centaines de mètres des plages du Mourillon, à deux pas du port, au pied des monts toulonnais, la Maison des Technologies accueillera tous les Géocacheurs, de Provence et d’ailleurs, à l’occasion de l’assemblée générale de l’association.

Une journée ouverte à tous, bien sûr, occasion pour les nouveaux de mettre un nom sur les pseudos, occasion pour les plus anciens de retrouver des amis, de faire de nouvelles rencontres.

Programme de la journée

Accueil des géocacheurs à partir de 9h00 dans le hall de la Maison des Technologies.
A 10h00, photo du groupe.
A 11h00, visite bateau commentée de la rade et du port militaire. Si ce n’est pas déjà fait, vous pouvez encore vous inscrire sur ce formulaire.
Les inconditionnels des petites boîtes trouveront leur bonheur tout autour de notre lieu de rendez-vous.
Aux plages du Mourillon à 12h30, apéritif offert par les GDP, suivi d’un pique-nique tiré du sac, partage des spécialités de chacun.
Après-midi géocaching libre.
A partir de 16h30, à la Maison des Technologies, des ateliers sur des thèmes liés au géocaching vous seront proposés.
La boutique sera ouverte et les collectionneurs de TB et Géocoins pourront montrer leurs trésors.
L’assemblée générale des GDP débutera à 18h00 pétantes dans l’amphithéâtre.
Apéritif vers 19h00, suivi du buffet sur place. Tirage de la tombola entre fromage et dessert. Pour vous inscrire au repas, c’est ici

A très bientôt au bord de la rade.


 

Election du géocacheur de l’année 2012

Au cours des automnales rencontres 2011, à  Courry, les GdP avaient remis une « chouette d’or » à Seping, organisateur de deux mémorables mega events en Catalogne et grand amateur de caches françaises.
Nous avions convenu que ce trophée serait remis en jeu chaque année. Seping passera le témoin pendant l’event, samedi 8 décembre, au « géocacheur de l’année ».
Votez ici , avant samedi 1er décembre, 22 heures, pour votre géocacheur préféré, celui que vous souhaitez mettre à l’honneur. Nous comptons sur vous.

Merci Marcel

Il est terminé ce méga event pour lequel tu t’es tant battu. Un souvenir qui s’effacera sauf pour ceux, nombreux, qui y ont participé. Tu as surmonté les critiques, les freins et autres railleries pour créer ce qui malgré la pluie restera un super MEGA. Nous on te remercie car c’est grâce à des géocacheurs comme toi que le géocaching évolue en France.

Qui veut aider Magnus ?

Le créateur de Project-GC recherche des traducteurs et nous on aimerait bien voir ce site en Français. Il y a surement parmi vous un traducteur émérite qui est d’accord pour nous rendre ce site encore plus convivial. Il lui suffit de contacter Magnus info@project-gc.com. On compte sur lui  Content

C:geo release candidat

Le nouveau sera bientôt disponible sur le « market ». Si vous souhaitez l’installer directement vous pouvez télécharger le fichier ICI